Juan Muñoz 1953 – 2001

Durant le printemps 2007, le musée de Grenoble a présenté sous le titre "Sculptures et dessins" une grande exposition consacrée à l'œuvre du sculpteur madrilène Juan Muñoz. Cette manifestation qui obtint une large audience fut pour beaucoup une révélation, l'univers étrange et fascinant de Juan Muñoz, demeurant encore peu connu en France. Ce n'est pas le cas au plan international où cet œuvre s'impose désormais comme un des jalons de l'histoire des formes de la fin du XXe siècle.


En présentant deux de ses sculptures faisant partie des collections, accompagnées d'un ensemble de dessins prêté pour cette occasion, le musée rend hommage à cet artiste disparu prématurément à l'âge de 48 ans, il y a tout juste dix ans.

Cette année la Galerie du Théâtre de Privas accueillera quatre expositions.
Nous ouvrons la saison le 14 octobre avec une très belle initiative, en lien avec les quarante ans du Théâtre, et organisée avec l'Institut d'Art Contemporain de Villeurbanne :

"4x10, œuvres de la collection de l’Institut d’art contemporain, Rhône-Alpes"
Un regard sur l'art contemporain en France depuis 1970

Cette exposition sera très riche en perspectives culturelles et pédagogiques
22 œuvres de 22 artistes seront présentées, au théâtre, et une hors les murs chez AD Libitum ( 23 rue de la république Privas) c'est une sélection issue de la collection Rhône Alpes.-Institut d’Art Contemporain de Villeurbanne.
Ces œuvres sont très représentatives et emblématiques de quatre générations, passées et en cours....
La sélection d’œuvres tente de révéler la richesse et la diversité de cette vaste période, et de refléter une partie des évolutions et des fulgurances qui ont animé la scène française depuis quarante ans
Un évènement à ne pas manquer!

Les rendez vous :
Jeudi 20 octobre 2011, à 18h (hall d’entrée diu théâtre)
Visite spéciale pour les enseignants: (entrée gratuite, sans réservation), une découverte rapprochée des œuvres et du dossier pédagogique téléchargeable sur les sites du CDDP07 et du théâtre de Privas.

Les lectures : « Paroles d’artistes »
Une autre manière de rencontrer l’œuvre… ( tous publics, entrée gratuite, sans réservation)
Lecture de textes choisis sur les artistes exposés par Nadine Demange et Line Wiblé, comédiennes, Lardenois et Cie.
Vendredi 25 novembre A 18h30 " Elles disent"....
Vendredi 13 janvier A 18h30 "Ils disent"

Les visites gourmandes (avec médiation) : une façon originale et agréable de visiter l’exposition ( tous publics)
    • un apéro-visite (le soir) : mercredi 9 novembre de 18h30 à 20h00
    • pique-nique visite (le midi) : mercredi 16 novembre de 12h15 à 13h30
Apéro et pique seront préparés par le théâtre, tarif : 4€, places limitées.
Réservation auprès de Carole au 04 75 64 93 39

- Les visites avec médiation pour vos classes : du lundi au vendredi de 9h à12h et de 13h30 à 18h Réservation auprès de Carole au 04 75 64 93 39
Entrée et médiation gratuites
Télécharger le dossier pédagogique…
Plus d’infos…

Au musée du 25 novembre 2011 au 22 janvier 2012 : « L’Œil du Prince »
Création de Georges Rousse à Bourgoin-Jallieu

Le vernissage se déroulera pendant la Nuit Résonance/Biennale d’art contemporain de Lyon jeudi 24 novembre, à 18h et profitera d’une ouverture jusqu’à 23h.

Georges Rousse est né à Paris en 1947. Tour à tour peintre, sculpteur, architecte, il transforme puis photographie des lieux abandonnés et parcourt le monde entier en quête d'usines désaffectées, de maisons oubliées, de bâtiments voués à la destruction. Pour quelques jours, il prend possession de ces lieux vides, et transforme l'espace au gré de son imagination. De son intervention naît une image en anamorphose(*), visible en un point unique, et dont il garde la trace par une photographie, nous invitant à découvrir « un autre temps et un autre espace ».

À Bourgoin-Jallieu, l'artiste s'est emparé du Théâtre Jean-Vilar incendié. Du 8 au 17 août derniers, l'artiste, avec l'aide de 7 jeunes de la prévention spécialisée (Médian Nord-Isère et Prévenir / Isère Rhôdanienne dont 4 de Bourgoin-Jallieu, Succieu, Villefontaine et l'Isle d'Abeau), a échaffaudé une structure sur la scène du théâtre et dans ses combles et photographié le résultat, une première fois en couleur rouge et une seconde fois en blanc.

Entré en 1923 au musée de Grenoble, le Portrait de Madeleine Bernard de Paul Gauguin s'est vite imposé comme un des fleurons de la collection. Sa force et sa beauté ont occulté cependant une particularité non négligeable de ce tableau : il est peint sur ses deux faces.
En effet, pour fixer les traits de la belle Madeleine, l'artiste a utilisé le revers d'une toile sur laquelle il avait peint quelques mois auparavant un paysage breton. Paysage qui, au demeurant, sera exposé sous le titre La Rivière blanche lors de la rétrospective organisée trois ans après la morte de l'artiste à Paris en 1906.

C'est à une véritable découverte que l'on invite le public en présentant pour la première fois, et pour trois mois uniquement, le revers de ce portrait : le Gauguin caché du musée de Grenoble.

Ces peintures exécutées en 1888 à quelques mois d'intervalle, lors du second séjour de Gauguin à Pont-Aven, sont révélatrices du bouleversement stylistique que connaît alors son oeuvre. La Rivière blanche, encore proche de l'impressionnisme par l'usage caractéristique de la touche, pour le rendu des feuillages, annonce cependant une nouvelle manière de peindre comme en témoignent la présence de larges aplats de couleurs et la mise en page audacieuse de ce paysage, inspirée de l'estampe japonaise.

Madeleine Bernard a dix-sept ans lorsque Gauguin, son ainé de vingt-trois ans, en tombe amoureux. Loin de respecter sa physionomie à la lettre, il la peint de façon très stylisée sous les traits d'une femme mûre dont la coiffure soigée, le regard alangui, le sourire esquissé et la pose affectée révèlent le charme et l'élégance. Cette image idéalisée de l'être aimé est accentuée par le traitement simplifié du décor et l'absence de perspective. L'artiste montre ainsi qu'il ne se contente plus d'observer et de reproduire mais de suggérer voire de transposer la réalité.

Une présentation illustrée et documentée permet de mettre en lumière ces deux tableaux réalisés dans une période décisive de la carrière de Gauguin et de la naissance de l'art moderne.

Exposition du 5 novembre 2011 au 12 février 2012
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De la Renaissance au Néoclassicisme, de l'étude à l'esquisse jusqu'à la composition aboutie, une sélection de plus de 120 œuvres permettra de découvrir l'art du dessin en France à travers trois siècles d'histoire. Ce parcours, qui réservera nombre de surprises et de découvertes, sera l'occasion de retrouver quelques points forts du fonds grenoblois, de l'ensemble de Simon Vouet pour le XVIIe siècle, à celui de David pour la fin du XVIIIe. 

Exposition du 5 novembre 2011 au 12 février 2012.
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Videomuseum est un réseau de musées et d’organismes gérant des collections d’art moderne et contemporain (musées nationaux, régionaux, départementaux ou municipaux, Fnac, Frac, fondations) qui se sont regroupés pour développer, en commun, des méthodes et des outils utilisant les nouvelles technologies de traitement de l’information afin de mieux recenser et diffuser la connaissance de leur patrimoine muséographique. Les méthodes et outils utilisés dans ce réseau permettent :

• L’informatisation de la documentation et de la gestion des collections par le logiciel Gcoll (inventaire, photothèque, médias numériques, régie, ateliers, constats d’état, restauration, mouvements des œuvres…).

• La diffusion de la connaissance de ces mêmes collections par le logiciel Navigart (Internet, CD-Rom) ou par les catalogues de collection.

Videomuseum fédère actuellement 59 collections et recense à ce jour 21 100 artistes, 256 000 œuvres et 151 800 images, consultables dans chaque organisme.
Téléchargez le dossier de présentation…
http://www.videomuseum.fr/

The Adding Machine
Mai-Thu Perret
Exposition du 9 octobre 2011 au 8 janvier 2012
Vernissage le samedi 8 octobre à 18h30

Après la présentation cet été à l’Aargauer Kunsthaus (Aarau, Suisse), le MAGASIN accueille cet automne l’exposition monographique consacrée à l'artiste suisse Mai-Thu Perret. Cette exposition présentera dans toute son ampleur le travail de cette artiste de renommée internationale. Elle rendra compte de la diversité des approches de Mai-Thu Perret dans sa pratique artistique en proposant des œuvres anciennes et nouvelles créées à l’occasion de cette exposition.

La production pluridisciplinaire de cette artiste suisse se déploie à travers différents médiums aussi variés que la sculpture, la peinture, la vidéo, le son, mais aussi le texte ou même encore la céramique. Marquée par les mouvements avant-gardistes du XXe siècle et par les philosophies orientales, l’oeuvre de Mai-Thu Perret comporte de nombreuses références culturelles, historiques et littéraires.
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Delphine Balley, Jean B. de la Série : L'album de famille, 2010,
Courtesy galerie Suzanne Tarasieve

Delphine Balley / Natacha Mégard
Sur la pointe des pieds
Exposition du 8 octobre au 7 décembre 2011
Vernissage le vendredi 7 octobre à 18h30

Une exposition qui entrelace les fausses histoires de Delphine Balley et les installations aux matériaux improbables de Natacha Mégard.

Avec son projet La fausse fille, second chapitre de L'album de famille, intitulé « Le pays d'en bas », Delphine Balley fait entrer en scène un nouveau personnage, une fille illégitime, cachée à la lisière des bois, qui grandira sans règles, dans le secret le plus complet. L'artiste nourrit ses histoires de rencontres avec des personnes ressources du Royans et du Parc naturel régional du Vercors.
Natacha Mégard apprivoise alors l'espace de l’histoire, et, des indices laissés par les artistes nous permettent de suivre pas à pas, dans des univers complexes, une proposition dans laquelle le secret, le miroir, le double et l'imaginaire tiennent une place essentielle.

Dans le cadre des Journées Art Contemporain de Grenoble, visite de l'exposition en présence des artistes le samedi 8 octobre à 11h30, suivie d'un apéritif.
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Pour son exposition de rentrée, le VOG accueille le photographe stéphanois Jean-Antoine Raveyre. Loin d’être de simples prises de vues, les photographies de Jean-Antoine Raveyre sont de véritables mises en scène soigneusement construites, dans lesquelles rien n’est laissé au hasard. « Les références historiques, picturales et littéraires parsemées dans mes images ne sont pas le témoignage d’une culture commune, mais mon intention propre d’amener le spectateur à ouvrir les yeux sur l’histoire », comme l’évoque sa série « Historique », inspirée par le victimes de Pompéi, qui donne son nom à l’exposition.
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les Journées Art Contemporain reviennent pour leur 4ème édition, les 8 et 9 octobre 2011.

Quinze lieux d’art contemporain de Grenoble et de son agglomération ouvrent leurs portes gratuitement et vous proposent des rencontres, des ateliers ou des performances.

Téléchargez le dépliant programme…
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À l’occasion de la biennale art/sciences organisée par l’Hexagone de Meylan, le CAB a invité l’artiste italien Luca Pozzi à concevoir une exposition collective autour de l’énergie, un des thèmes qui traverse son œuvre... C’est donc à une rencontre entre œuvres artistiques et scientifiques que vous êtes conviés du vendredi 30 septembre au 20 novembre avec un vernissage le 29 septembre de 17h à 20h dans le cadre du parcours inaugural des Rencontres-i 2011 !

T.O.E. (synergies en résonance)
T.O.E. Theory of Everything est une exposition collective conçue par l’artiste Luca Pozzi pour le CAB Centre d’Art Bastille à l’occasion de la Biennale Art/Science organisée par l’Hexagone, scène Nationale de Meylan.

À une époque particulièrement sensible à des questions telles que le développement durable et les énergies renouvelables, le propos de l’exposition s’oriente vers des territoires peu explorés, ceux où l’énergie se manifeste dans toute sa force, ceux où le question de la protection des ressources est remplacée par celle de leur genèse et de leurs « harmonieuses » combinaisons .

Luca Pozzi a ainsi décidé d’étudier la naissance de l’énergie, d’en retracer ses origines, sans aucun préjugé. Pour se faire, il a étudié différentes conjectures de la physique comme la théorie des cordes, la théorie des twisteurs et les différents formalismes de la gravité quantique. Il les a assemblés afin de créer un ensemble libre fait de contradictions mathématiques, une expérimentation visuelle visant à imaginer, à une échelle macroscopique, l’énergie du vide.

T.O.E. (Theory of Everything) en physique théorique comme dans le cas de l’exposition, a comme objectif principal de jeter les bases d’une vision concrète des perspectives révolutionnaires évoquées les plus importants chercheurs de notre temps comme : Abhay Ashtekar, Lee Smolin, Edward Witten, Carlo Rovelli, Leonard Susskind, Roger Penrose, Stephen Hawking, Alain Connes et leurs équipes. Les œuvres exposées ont été sélectionnées en fonction de leur capacité à visualiser des ponts éphémères entre les mondes, les langages, entre les différents formalismes afin de faire émerger une réalité unifiée.

Avec avec Bruno di Bello, Attila Csörgö, Michel François, Franka Hörnschemeyer, Matthew Day Jackson, Yves Netzhammer, Luca Pozzi, Rafaël Rozendaal, Tomas Saraceno, Angelo Sarleti, Conrad Shawcross & Raymond Aschheim, Abhay Ashtekar, Roger Penrose, Carlo Rovelli.

Exposition du 30 septembre au 20 novembre du mardi au dimanche de 11h à 18h.
Vernissage le 29 septembre de 17h à 20h.
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XYZT, les paysages abstraits

Exposition du 30 septembre au 30 décembre 2011 au CCSTI Grenoble La Casemate
dans le cadre de la 6ème édition des Rencontres-i, Biennale Arts-Sciences

Cette exposition proposée par Adrien Mondot et Claire Bardainne prend place dans un projet artistique global initié en avril 2010. Cette nouvelle version prolonge et approfondit la première mise en forme de l’exposition. Elle est constituée d’œuvres plastiques et de modules interactifs construits à partir des dispositifs numériques développés par Adrien Mondot pour ses spectacles.

L’exposition propose un parcours conçu comme un cheminement dans un paysage, la traversée d’une nature revisitée. En effet, la référence à la nature est l’axe de travail principal. Des expérimentations du monde physique (fragments de réalité tels que marcher dans l’herbe, mettre les mains dans l’eau) sont transposés dans un univers abstrait. Les installations permettent d’explorer le mouvement numérique amenant à se demander comment, en plongeant dans l’espace (x, y, z) et le temps (t), peut se déployer soudainement un univers improbable.

Pour le visiteur, il s’agit d’habiter un territoire grâce à des expériences réduites à l’essentiel. Des manipulations simples offrent le plaisir de créer des formes, de dessiner le monde, empruntant au jonglage le goût du jeu sans règles et aux sciences l’appétit de curiosité et de découverte.

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Les parcours couplés : proposés en partenariat avec le musée de Grenoble et le Muséum d’histoire naturelle de Grenoble pour nourrir une réflexion sur la relation entre art, nature et culture numérique.

- parcours couplé CCSTI / Musée de Grenoble. La visite au musée se déroule autour des œuvres de Russolo, Kandinski, Béöthy, Morellet… sur les thèmes de la référence à la nature, du mouvement et de l’abstraction.

- parcours couplé CCSTI / Muséum d’histoire naturelle de Grenoble. La nature nourrit le travail d’Adrien Mondot : le mouvement des insectes, des étourneaux, celui des arbres sont étudiés et modélisés et s’incarnent dans les installations numériques. Le Muséum propose une renontre avec ces matériaux d’étude : insectes et oiseaux du monde réel.

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Visites enseignants
• le mardi 4 octobre de 16h30 à 18h30
• le mercredi 5 octobre de 9h30 à 11h30
L’équipe d’animation vous accueillera pour une visite guidée de l’exposition et vous remettra un guide de l’exposition.

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Informations pratiques :

L’exposition XYZT est accessible à tous les niveaux scolaires.
- parcours couplé CCSTI / Musée : à partir du CM1,
- parcours couplé CCSTI / Muséum : CM1, CM2, collèges

Disciplines particulièrement concernées
Arts visuels, arts plastiques, technologie, physique, électronique, informatique …

Visite de l’exposition
Durée : 1 heure, sur réservation uniquement
Tarifs pour un groupe : 30 € pour tous les établissements scolaires de Grenoble, son agglomération, le département de l’Isère et la région Rhône-Alpes, 45 € hors Région, gratuit pour les accompagnateurs.

Parcours couplés : tous les lundis avec le musée de Grenoble, tous les vendredis avec le Muséum d’histoire naturelle de Grenoble : 1 heure dans chaque lieu : 13h30 au CCSTI, 15h au Musée ou au Muséum.
- Parcours CCSTI / Musée : gratuit, réservation au Musée de Grenoble : 04 76 63 44 47
- Parcours CCSTI / Muséum : 20 € par structure, réservation CCSTI

Informations et réservations
Le CCSTI Grenoble est ouvert du lundi au vendredi de 9h à 12h et de 13h30 à 17h30, le samedi, dimanche et jours fériés de 14h à 18h.
Téléphone direct : 04 76 44 88 80, courriel : accueil@ccsti-grenoble.org
http://www.ccsti-grenoble.org
Programme des rencontres-i : http://www.rencontres-i.eu

Réunions d’information pour les enseignants de collège, lycée et enseignement supérieur :
Mercredi 21 septembre, à 14h30 à la Sucrière
Mercredi 28 septembre, à 13h15 au MAC Lyon et à 16h à l’usine T.A.S.E.
Durée des visites : 1h30, réservation indispensable par mail : public@labiennaledelyon.com, en indiquant vos coordonnées complètes, ainsi que celles de l’établissement et le(s) lieu(x) que vous souhaitez visiter.

Visite Collèges - Lycées - Étudiants, à la Sucrière, au Musée d’art contemporain ou à l’usine T.A.S.E.
Durée : 1h30 - Tarif : 70€ pour un groupe de 20 à 25 élèves et 2 accompagnateurs invités
Règlement possible par carte M’ra

Les établissements Rhône-alpins souhaitant associer des temps de rencontres complémentaires à la visite commentée dans le cadre d’un projet spécifique lié à l’art contemporain, sont invités à se saisir de l’appel à projet formulé dans le cadre du dispositif Soprano, et téléchargeable sur le site de la région.

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Réunions d’information pour les enseignants et les professionnels HTS
Mercredi 21 septembre, à 11h à la Sucrière
Mercredi 28 septembre, à 11h au MAC Lyon et à 14h30 à l’usine T.A.S.E.
Durée des visites : 1h30, réservation indispensable par mail public@labiennaledelyon.com, en indiquant vos coordonnées complètes, ainsi que celles de l’établissement et le(s) lieu(x) que vous souhaitez visiter.

Visite Cycle 2 & 3, accompagnés du médiateur, les élèves découvrent une sélection d’œuvres à la Sucrière, au Musée d’art contemporain ou à l’usine T.A.S.E.
Ouvertures exceptionnelles de la Sucrière, réservées aux cycles 2 et 3 en visites commentées, les jeudis matins à 9h, à partir du jeudi 20 octobre
Durée : 1h - Tarif : 50€ pour un groupe de 15 élèves et 2 accompagnateurs invités

Afin de familiariser les élèves à l’art contemporain, nous proposons un module de sensibilisation à la fois ludique et pédagogique, en partenariat avec Petitart : associés à la découverte de l’exposition, des rendez-vous en classe vous sont proposés pour expérimenter avec les élèves la mise en place d’une exposition, un atelier créateur et découvrir l’art contemporain par le biais d’une mallette pédagogique.

Le tarif pour l'atelier Petitart avec une classe est de 260€ pour trois temps : la visite commentée de l'exposition, l’atelier créateur et la présentation sur l’art contemporain.
Plus d’informations: http://lartetlenfant.unblog.fr/

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Réservez vos visites en ligne, en remplissant le formulaire à cette adresse :
http://www.biennaledelyon.com/2011/scolaires/formulaired-inscription-scolairese-jeunes.html
ou par téléphone au 04 27 46 65 66

Les pistes pédagogiques seront disponibles dans le courant du mois d’octobre à l'adresse:
http://www.biennaledelyon.com/2011/scolaires.html

Exposition Zeuxis pop
Kaz Hoshiro
Exposition du 16 septembre au 19 novembre 2011

Kaz Oshiro réalise des reproductions en trompe l’œil d’objets usuels, qui sont en fait des peintures tridimensionnelles en acrylique sur toile. Les amplis utilisés en musique, les réfrigérateurs, les machines à laver et à sécher forment les humbles sujets de son travail. Hybrides, ils brouillent la frontière entre peinture et sculpture. Avec une attention plus que marquée pour le détail et un intérêt pour la vie quotidienne, les pièces défient les conventions de la représentation et nous demandent de porter attention comme de nous méfier de ce que nous voyons. À une époque saturée d’appropriation, les œuvres d’Oshiro se réfèrent au Pop Art, à l’art minimal et conceptuel sans tomber dans la servitude à ces courants.
Oshiro dit essayer « [espérer] créer des formes post-Pop Art (peinture) qui juxtaposent Pop et Minimalisme au mouvement Néo-Géo, à l'Appropriationisme et au Photoréalisme, et les présenter comme une nature morte de ma génération. » Ces objets sont plus que de l’art sur l'art : les autocollants punk-rock et tout l’attirail de la culture populaire révèlent la lecture précise et juste que fait Kaz Oshiro de la haute et de la basse culture américaine.

Visite dialoguée et présentation de la programmation 2011-2012 à l’attention des enseignants du 1er degré et des animateurs de centres de loisirs : mardi 27 septembre 2011 à 18h

Téléchargez le dossier de presse de l'exposition…
Michel Delajoud 04 50 38 84 61
mediation@villaduparc.org
http://www.villaduparc.com

4 x 10, 40 années de création contemporaine
Exposition du 14 octobre 2011 au 14 janvier 2012
Vernissage le vendredi 14 octobre 18h30

Les artistes retenus, souvent emblématiques, permettront de mettre à jour les multiples enjeux et les mutations de la création depuis 40 ans. Cette exposition accompagnera symboliquement l'anniversaire des quarante ans du Théâtre de Privas.

Œuvres de la collection de l’Institut d’art contemporain Villeurbanne / Rhône-Alpes :
Christian Boltanski, Magdalena Abakanowicz, Jean Le Gac, Jan Voss, Michel Journiac, Urs Luthi, Jean-Charles Blais, Robert Combas, Hervé Di Rosa, Valerio Adami, Carmelo Zagari, Kacem Noua, Cindy Sherman, Ernesto Tatafiore, Orlan, Joep van Lieshout, Yan-Pei Ming, Philippe Mairesse, Art Keller, Gillian Wearing, Pipilotti Rist, Rebecca Horn, Agnès Varda, Fabien Vershaere, Stéphanie Nava, Fiona Tan, Jordi Colomer, Allen Ruppersberg, Vincent Lamouroux, Philippe Decrauzat…

Présentation de la programmation à destination des enseignants :
mardi 20 septembre de 17h30 à 20h

La Galerie propose 4 expositions qui contiendront des ancrages forts avec les objectifs des programmes en arts plastiques, arts visuels et histoire des arts :

1. Octobre à janvier : « 4 x 10 , 40 années de création contemporaine »
2. Février / mars : Denis Schneider – « la poésie de l’extase » (peintures - En collaboration avec la médiathèque de Privas)
3. Avril / mai : Guy Delahaye « Gallota – 30 ans de Cie » (installation-photographique - en collaboration avec la MC2 de Grenoble et la FOL07 « Danse au fil d’avril »)
4. Mai / juin : Valérie Rambaud - Sébastien Verger et Cie « Cabinets de curiosités » en lien avec Ad Libitum

Le centre du Graphisme lance un appel à projet auprès des classe d’arts appliqués dans le cadre de l'accueil de l'exposition « Le peuple veut » à Échirolles du 21 novembre au 23 décembre 2011.

Cette exposition présente des dessins de presse, des affiches, du graphisme populaire réalisés en soutien à la révolution tunisienne. Elle met en lumière le talent créateur de ces très nombreux dessinateurs et graphistes qui contribuent à l’analyse critique du monde contemporain. Quelques mois après la révolution tunisienne, c’est une exposition engagée qui s’implique à chaud dans les événements du Printemps arabe.

Regards croisés de nombreux professionnels et étudiants, les affiches et dessins de presse présentés forment un ensemble inédit qui sera accueilli, après Caen, par Sfax, Tunis, Sousse, Marrakech, Échirolles, Saint-Ouen, Paris, Besançon, Évry, Annecy et Varsovie, Turin et Amman.


Les affiches seront présentées dans les Silos aux Moulins de Villancourt.
Télécharger l’appel à projet…

Sur le chemin de l’errance...
Avec Marcelline Delbecq, Pierric Favret & Roman Scrittori, Laurent Montaron.
16, 17 et 18 septembre 2011

Exposition dans les cadre des Journées du Patrimoine :
• Samedi 17 et dimanche 18 septembre à 14h :
exposition commentée à destination des enfants. Durée : 30 min.
• Samedi 17 et dimanche 18 septembre à 16h :
exposition commentée par les artistes Pierric Favret et Roman Scrittori. Durée : 30/45 min.

«Ce n’est pas une adaptation du roman, mais un objet cinématographique hybride, où fiction, cinéma et réalité documentaire se lient pour se confondre ».
C’est ainsi que Pierric Favret et Roman Scrittori présentent leur dernier film commun. Sous la forme d’un road-movie, nous suivons le périple filmé de ces 2 réalisateurs traversant du nord au sud l’Espagne sur les traces de Don Quichotte et des cinéastes (Terry Gilliam et Orson Welles) qui se sont attelés à cette tâche difficile qu’est l’adaptation du livre de Cervantès. La présentation en avant-première de cette oeuvre est le prétexte d’une programmation artistique dans le cadre de la 28e édition des journées européennes du patrimoine autour du thème de l’errance.
L’errance est principalement associée au mouvement, à la marche, à l’idée d’égarement, à l’absence de but. On la décrit comme une obligation à laquelle on succombe sans trop savoir pourquoi, qui nous jette hors de nousmême et qui ne mène nulle part. Être errant, c’est être, à un moment donné, sans attache particulière, allant d’un lieu à un autre, en apparence sans véritable but. En apparence seulement car l’errance est une quête ; une quête d’autre chose, d’un autre lieu qu’Alexandre Laumonier appelle le « lieu acceptable ». Cette recherche du lieu acceptable la distingue du voyage. Dans cette errance, l’objectif n’est pas de se perdre mais au contraire de se trouver. Il s’agit dans ce cas-là d’une quête incessante d’un ailleurs, relevant d’une nécessité intérieure, nécessité de partir, de porter ses pas plus loin et son existence ailleurs… Son expérimentation transforme, plus rien n’est pareil, et le regard que l’on porte sur les choses change… L’errance revêt alors différents aspects, relevant autant du déplacement physique que d’un cheminement intellectuel... (1)

(1) D’après Dominique Berthet in Figures de l’errance, édition l’Harmattan, septembre 2007.
Télécharger le dossier de presse…

Exposition du 11 septembre au 16 octobre 2011
Vernissage le 10 septembre à 18h
Exposition ouverte du mercredi au dimanche, de 14h à 19h
Télécharger le dossier de presse…

OUI , 56-58 bd de l’Esplanade , 38000 Grenoble 04 57 39 84 92
infos@aoui.org
http://www.aoui.org

Skateboarding is not a crime
Une culture qui façonne un regard dans l’art contemporain
Exposition du 8 septembre au 22 octobre 2011
Vernissage le 8 septembre à partir de 18h30

L’exposition
Le propos n’est pas de présenter «juste» une exposition sur la culture skate mais de s’interroger sur sa présence dans les œuvres d’artistes, du milieu de skate ou pas, de la scène nationale ou internationale. Dès les années 70 Larry Clark photographie une jeunesse américaine empreinte de la culture skate. Koo Jeong-A offre une expérience physique et sensorielle en skatant le paysage sur 400 m2. Takashi Murakami, Jeff Koons ou Damien Hirst impriment leur travail sur des skates...

Comment certains artistes voient, abordent cette culture? Comment créent-ils avec/ à partir d’elle? Questionner l’époque, la référence aux marques, surfer sur la vague rentable de l’engouement pour cette culture, s’approprier ses codes, les revisiter... autant d’artistes, voire d’œuvres, autant de débuts de réponses.

La culture skate dans l’art : support réfléchi? Simple prétexte? Clin d’œil plus ou moins ironique?...C’est à ces pistes de réflexions que vous êtes conviés.
Benoit Alcouffe (Fr) - John Baldessari (USA) - Fabien Bonzi (Fr) - Larry Clark (USA) – George Condo (USA) - Olafur Eliasson (USA) - Shepard Fairey (USA) - Yann Gross (Ch) Damian Hirst (UK) – Andy Howell (USA) - Koo Jeong-A (Corée) - Takashi Murakami (Japon)- Bruno Peinado (Fr) - Agnès Rosse (Fr) – Samuel Rousseau (Fr) – Lionel Scoccimaro (Fr) - Josh Smith (USA) Raphael Zarka (FFrR) - Zeus (Fr)

Télécharger le dossier de presse…

Exposition Jean-Marc Rochette
Du privilège de la verticalité

Exposition du 17 juin au 18 décembre 2011.

En collaboration avec le musée de Grenoble et le musée Hébert (La Tronche).
Exposition “En Résonance avec la Biennale de Lyon 2011”.

L'exposition présente des toiles et des aquarelles liées au thème de la montagne (réalisées spécialement pour le musée) et à la question du paysage ainsi que des portait et des autoportraits.

« Du privilège de la verticalité » est la première exposition inédite des toiles de Jean-Marc Rochette, réalisées en grande partie spécialement pour le musée Géo-Charles, et montrées pour la première fois dans un musée français. C'est surtout le paysage d'altitude, permanence d'un thème privilégié de la peinture, lieu fondamental de sa création, que Jean-Marc Rochette confronte à sa fascination pour la nature. Le paysage comme mémoire et repère d'un véritable exercice esthétique et corporel qui dans sa luxuriance de la peinture à l'huile renouvelle et réinvente cette question de la montagne et du paysage sous toutes ses formes. De ce travail émerge ce questionnement persistant et résistant : comment faire émerger le renouvellement d'un thème de l'histoire de la peinture, le paysage, réinventer ce sujet, et le mettre en mouvement afin de le revisiter ?
Télécharger le communiqué de presse…

Les activités pédagogiques sont gratuites
Les parcours ludiques et visites se déroulent sur réservation
Rendez-vous auprès de l'action pédagogique :
Marlène Quaranta 04 76 22 99 32
m.quaranta@ville-echirolles.fr

Entrée gratuite
Horaires d'ouverture : du lundi au vendredi 14h-18h, samedi et dimanche 14h-19h
Fermeture à 18h samedi et dimanche, de novembre à février
Fermé le Mardi

Musée Géo-Charles - 1, rue Géo-Charles - 38130 Échirolles
04 76 22 58 63

 
Exposition « Bois debout »
Olivier Giroud, sculpture

Du 23 juin au 17 octobre 2011, une dizaine de sculptures sont installées dans les jardins du musée Hébert, s’inscrivant dans les espaces et les bosquets comme si elles appartenaient déjà à ce monde végétal. Ce sont des œuvres récentes dont quelques-unes ont été réalisées pour cette exposition.

Olivier Giroud a choisi le bois, qui lui donne la liberté de sculpter dans une échelle monumentale et s’accorde mieux avec les arbres centenaires du parc. Il utilise le peuplier, dont il apprécie la matière pleine, façonnable et vivante, qui se patine rapidement. Les troncs sont épannelés, équarris, leurs surfaces sont laissées tantôt brutes, tantôt lisses ou encore légèrement poncées pour mieux accrocher la lumière et favoriser les effets du temps. Les masses sont emboîtées comme dans un jeu de construction pouvant évoquer quelques vestiges d’un temps archaïque.

Né en 1943, en Dauphiné, Olivier Giroud vit près de Vienne où il a installé son atelier. Après des études à l’IEP de Grenoble (1963-1967), il entre dans un atelier de ferronnerie puis dans un atelier de céramique en Drôme et au château de Ratilly. Depuis 1972, il a exposé dans de nombreuses galeries et musées en France et à l’étranger et participé à des salons. Il a réalisé plusieurs oeuvres monumentales notamment une sculpture pour la cité administrative de la Part-Dieu et un très grand relief mural pour le métro de Lyon, à la station Guillotière.
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Territoire(s) brut(s) : 1 titre, 4 artistes !
Exposition du 20 avril au 4 juin 2011
Prolongation jusqu’au 22 juin
Vernissage mardi 19 avril à 18h30,
en présence des artistes

Dans le cadre de son projet artistique, la Galerie d’exposition du Théâtre souhaite s’engager, à un moment de sa programmation, dans une relation avec des artistes implantés en région. Cette première session réunit 4 artistes des départements de l’Ardèche et de la Drôme. Ils se connaissent, s’apprécient et ont été amenés à travailler ensemble (Musée de Valence, Musée de Gap, ERBA, Festival l’Art des corps).

Les artistes exposés sont invités à interroger ce titre « territoire(s) brut(s)» au regard de leur travail, des connivences s’établissent entre eux...

Territoires bruts, bruts de quoi ? Bruts de définitions et de limites ou bruts de regards extérieurs (donc de recul et de temps nécessaire à la maturation...) ? Espaces possibles de nouveau ouverts à l’expérience, à la découverte, neufs ? Je crois qu’à ce stade là le « no man’s land » reste utopique et que beaucoup de chemins se croisent. Lionel Chalaye

Quand j'entends le mot territoire, je pense : arpenter et pourquoi arpenter le territoire, si ce n'est pour apprivoiser /atténuer sa brutalité? Le territoire brut c'est celui que je ne connais pas, c'est là où je ne suis jamais allée. Marie-Pierre Bufflier

C’est peut-être aussi métaphoriquement vouloir se priver de la visibilité d’un territoire physique, en tout cas des marquages que l’on y dépose. Il ne s’agit plus d’inscrire ce que l’on voit ou ce que l’on sait mais d’enregistrer un geste dont la conséquense nous échappe en grande partie car liée aux rythmes du corps et à la fragilité de la conscience. Faire une image pour voir. Sylvie Garraud

Penser le matériau comme territoire c’est lui offrir un espace d’explorations sensibles, annexées ou pas à sa fonction. C’est aussi le prendre en main. Sillonner au plus près de l’ idée d’origine, de permanence, et d’intemporalité. Mireille Cluzet

Les rendez-vous :
    • Jeudi 26 mai à 18h30 Performance de Marie-Pierre Bufflier
Rencontres avec les artistes :
    • 22 avril, 20 mai, 3 juin : Sylvie Garraud
    • 5 et 6 mai : Marie Pierre Bufflier >
    • 28 avril, 19 mai : Mireille Cluzet
    • 22 et 23 avril : Lionel Chalaye


Entrée libre, du mercredi au samedi de 15h à 18h et sur rendez-vous pour les groupes scolaires.
Rue de la Recluse, 07000 Privas
Renseignements 04 75 64 62 00

OUI accueille Elshopo pour une exposition intitulée PETI TURISMO.

du 5 juin au 3 juillet 2010, du mercredi au dimanche, de 14h à 19h.
Vernissage samedi 4 juin à 18h.
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http://www.aoui.org/oui_index.htm

À l'initiative de l'association Maison des Artistes Plasticiens de Grenoble et de l'Isère (MAPGI), 52 artistes exposeront à l'ancien Musée de Peinture de Grenoble des œuvres sur le thème "Le papier dans tous ses états" inspiré par la forte empreinte historique et industrielle laissée par la fabrication du papier dans la région grenobloise.

Le public pourra découvrir des créations en 2D ou 3D, mêlant sculptures, installations, photos, peintures, dessins, parfois associés à divers autres matériaux, ou encore la présence d'un travail "purement conceptuel" qui fait rapport au thème et mot "papier" sans qu'il y en ait de trace matérielle.

Exposition du 2 au 26 juin 2011
Vernissage le jeudi 9 juin à 18h30

Ancien musée de peinture
Place de Verdun, Grenoble

Le Magasin présente du 29 mai au 4 septembre 2011 sa nouvelle exposition : TABLEAUX

Plus que la question de la peinture, trop généraliste et trop éloignée de la réalité de ces pratiques, nous avons retenu la notion de «tableau» qui donne son titre à l'exposition. Cette exposition propose principalement de s’extraire de la peinture (du châssis) pour mieux s’attacher au geste, à l’aspect performatif de la peinture.

L’exposition rassemble 21 artistes, qui tous proposent des positions fortes. Elle s'attache en particulier au geste, à la composition, aux matières : elle rassemble des œuvres singulières, des installations, des sculptures, des peintures murales, et notamment au moment de l'inauguration de l'exposition, des performances de Karina Bisch, Jessica Warboys, Morten Norbye Halvorsen et Pietro Roccasalva.

Vernissage samedi 28 mai (entrée libre) avec un programme de performances de 18h à 20h30

Les rendez-vous du service éducatif :
Pour découvrir l’exposition TABLEAUX, Anne Langlais-Devanne, responsable du service des publics et Claire Laloy, professeur relais vous proposent une visite le mercredi 8 juin à 14h.
Inscription conseillée au 04 76 21 65 27

Drawing by numbers
avec Thierry Agnone, Michel Barjol, Christophe Challange, Alexis di Maggio, Marie Frier, Claude Heath, Christian Lhopital, Dominique Lucci, Marie Maillard, Stéphanie Nava, Alexandra Pellissier, Didier Petit

Exposition du mai au 2011
Vernissage samedi 24 mai au 2 juillet 2011 à partir de 18 heures

Conférence d'histoire de l'art consacrée au dessin contemporain
Jeudi 26 mai à 19h à l'Espace Vallès, par Fabrice Nesta

Espace Vallès, Galerie municipale d'art contemporain
14 place de la République, 38400 Saint-Martin-d'Hères
Ouvert du mardi au samedi de 15 heures à 19 heures et sur RDV pour les groupes et les écoles.

Studio Vaduz, Image, son, espace, édition
Une Plate-forme d’expérimentation et de recherche de l’école supérieure d’art et de design Grenoble-Valence

Un espace de travail rassemblant des enseignements, des recherches, des expérimentations dans l’espace et des réalisations... avec des croisements et collaborations extérieures (artistes intervenants, établissements d'enseignement supérieurs, structures culturelles.)

Buzz
Cet atelier a pour objectif d'interroger et de tester le rapport de l'image vivante aux autres arts du spectacle (théâtre, lumière, musique, vidéo...). Il réunit des étudiants de l'ésad Grenoble-Valence et du cycle professionnel du conservatoire d'art dramatique de Grenoble autour du projet "Buzz" en conclusion à 6 jours de travail avec A.J. Rollet et L. Palun.

Avec :
Mathias Bonneton, Myrtille Borel, Mariette Breton, Yoanne Dufil, Florent Durieux, Gaspard Liberelle, Anne Marchal, Maia Stefana Opréa, Tom Porcher, Claudine Sarzier.
Anne Julie Rollet et Lionel Palun, artistes invités.
Catherine Tauveron et Dan Donadel, é.s.a.d.Grenoble-Valence
Muriel Vernet et Patrick Zimmermann, conservatoire d'art dramatique Grenoble.

Studio vaduz sera ouvert au public jeudi 19 mai 2011 entre 17h et 19h.

École supérieure d’art et de design Grenoble-Valence
25 rue Lesdiguières 38000 Grenoble

« De la nature à la géométrie »
Exposition du 3 au 26 mai 2011

Le musée de Grenoble présente à la MJC Prémol une sélection de sculptures issues de ses collections permanentes et réalisées par des artistes abstraits et figuratifs du XXe siècle. Créées dans les années 50-70, ces œuvres en pierre, en bois et en métal, élancées ou massives, dialoguent dans l'exposition et entrent en résonance avec les sculptures du Village Olympique installées dans le quartier lors du Symposium de 1967.

Cette 6e édition du musée hors les murs s'inscrit dans un projet de partage des collections avec les habitants, dans un univers proche et familier, au cœur du Village Olympique.
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Exposition du 12 mars au 5 juin 2011

Ce printemps, la fondation pour l’art contemporain Salomon invite l’artiste belge Bob Verschueren à investir les espaces du château pour sa première grande exposition monographique en France. Artiste autodidacte, Bob Verschueren a choisi de centrer son travail sur un dialogue intime, fait d’écoute et d’expérimentation, avec le végétal. En relation avec l’architecture des lieux qui l’accueillent, Bob Verschueren crée des installations éphémères qui sont autant de réflexions sur l'indéfectible lien entre la vie et la mort et les relations parfois contradictoires entre l’homme et la nature.

L’exposition s’articule autour de six installations in situ pensées par l’artiste en relation avec l’environnement naturel de la montagne et l’architecture des salles du château. Ces installations spécifiques, vouées à être détruites à la fin de l’exposition, ont été réalisées à partir d’arbres et de branchages de la région. Une installation sonore permet de découvrir les investigations menées par l’artiste depuis 1995 dans le domaine du son. L’exposition présente également un ensemble de photographies et d‘œuvres sur papier.

Bob Verschueren
Né en 1945 à Etterbeek (Belgique),vit et travaille à Bruxelles.
Bob Verschueren abandonne dès 1978 son atelier de peintre pour réaliser les "wind paintings", œuvres réalisées en extérieur à partir de pigments naturels répandus au vent dans le paysage. De ce tournant décisif nait son intérêt pour la nature et le végétal en particulier. Depuis, il a réalisé plus de 280 installations en Europe et ailleurs. D'autres domaines tels que le son ("Catalogue de plantes" débuté en 1995), les "phytogravures" (débutées en 1999), la photographie et les frottages sont aussi l’objet de ses investigations.
http://www.bobverschueren.net/
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Exposition du 10 avril au 19 juin 2011
Vernissage le samedi 9 avril à partir de 12h

Visites commentées pour les enseignants de collèges et lycées :
Mercredi 11 mai à 14h et mercredi 18 mai à 13h
Visite gratuite, inscription par mail obligatoire : contact@cab-grenoble.net

Étienne Boulanger est né à Longeville-lès-Metz, France, en 1976 et décédé à New York, U.S.A., en 2008. Il a fait ses études à l’Ecole Nationale d’Art de Nancy, où il a été diplômé en 2000 (DNSEP).

Il a développé un travail artistique basé sur la réappropriation de zones transitoires en opérant des interventions parasites et furtives dans l’environnement urbain, et des installations éphémères dans des galeries ou des institutions. Artiste nomade, il arpente les villes emblématiques de la métropolisation, telles Berlin, Pékin, Shanghai, Tokyo ou New York. Il y repère interstices, friches, et espaces résiduels pour les investir par une habile stratégie de camouflage. Ses œuvres, réalisées in situ, ne se situent pas dans une logique de reproduction ou de production d’objet : par des interventions temporaires et des occupations clandestines de ces lieux, il tend à poser un regard critique sur notre environnement, en s’adressant par un activisme discret aux autres usagers de ces espaces.

Étienne Boulanger utilisait par ailleurs un grand nombre de médias pour garder trace de son travail, du repérage au résultat de ses actions : la photographie, les diapositives et la vidéo mais aussi photocopies, dessins, plans, cartes et autres écrits qu’il présentait lors d’expositions sous formes de dispositifs d’archivage. Cette documentation, issue d’une démarche programmatique mais non figée, était considérée par l‘artiste comme une base de donnée évolutive, le compte-rendu d’un processus, à l’image des villes en perpétuelle mutation.

L'exposition du CAB reviendra sur le parcours de cet artiste surprenant à travers la présentation d'un ensemble d'œuvres qui reviendront sur les principales étapes de sa recherche artistique.
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Le Cab propose des journées ouvertes à tous.

« Les mercredis découvertes »
Le premier et troisième mercredis de chaque mois, le Cab propose une après-midi gratuite de découverte et d'initiation à l'art contemporain pour le jeune public. Une visite commentée et adaptée est réalisée par un médiateur à 14h. La visite dure 45 minutes, et est suivie d'un atelier pédagogique d'environ 45 minutes puis d'un goûter ( organisé par l'équipe de médiateurs).
Prochains Mercredis Découverte, pour l’exposition Étienne Boulanger : mercredis 20 Avril, 4 Mai, 18 Mai, 1er Juin et 15 Juin.

« Les Dimanches matins du Cab »
Les premier et troisième dimanches de chaque mois le Cab propose une matinée porte ouverte où des visites commentées sont proposées gratuitement aux horaires suivants : 11h30 et 13h. Les visites sont accessibles pour tout public et un temps d'échange autour d'un verre sera animé par le médiateur afin de répondre aux questions.
Prochains Dimanches du Cab, pour l’exposition Étienne Boulanger : dimanches 17 Avril, 1er Mai (sous réserve), 15 Mai, 5 Juin et 19 Juin.

Une inscription est demandée soit par mail soit par téléphone auprès de la personne en charge de cette journée :
emilie.baldini@cab-grenoble.net 04 76 54 40 67 ou 06 70 92 80 83

Exposition « Nils-Udo »
Nouvelles Peintures et Photographies

Nils-Udo est un des pionniers du Land Art. Artiste complet, peintre de formation, sculpteur et photographe de renom, il utilise la nature comme principale source d’inspiration. A partir des lieux où il se trouve, il crée des œuvres éphémères dont il garde la trace en les photographiant. Connu dans le monde entier pour ses installations dans les plus beaux sites naturels et ses photographies à la fois poétiques et engagées, l'artiste modifie légèrement le paysage pour en révéler sa beauté et son étrangeté.

Né en Bavière à la veille de la Seconde Guerre mondiale, Nils-Udo entreprend en 1955 des études d'arts graphiques à Nuremberg, puis devient peintre. En 1972, il cesse cette activité qu’il trouve trop artificielle et décide d'agir directement sur la nature. Les œuvres qu’il crée in situ n'ont pas vocation à se pérenniser. Comme une plante, elles naissent, se développent puis meurent. En 1989, il se réconcilie avec la peinture, enrichi de son expérience au plus près de la vie.

"Avec mon travail dans et avec la nature, j'abolis la frontière entre l'art et la vie." Nils-Udo

Exposition du samedi 26 mars au samedi 14 mai 2011
Vernissage le samedi 26 mars 2011 à 18h30

Galerie de l'Etrave de l’Espace Maurice Novarina , 4 bis avenue d’Evian à Thonon-les-Bains
Entrée libre du mardi au vendredi de 14h à 19h, le samedi de 14h à 18h
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Pour les scolaires, visites chaque matin du mardi au vendredi
contact : Anne-Claire Lecuyer anneclaire@mal-thonon.org

Joël Ducorroy – plaqué art
2 avril – 5 juin 2011
Vernissage public le 1er avril 2011 à 18h30

Intitulé « Art & Langage », le troisième cycle d’expositions de la Chapelle de la Visitation de Thonon-les-Bains vise à témoigner de l’utilisation récurrente de l’écrit, du mot et du texte dans le champ de l’art contemporain. Partant de faire voir ce qu’il en est d’une production artistique qui procède de l’art conceptuel ou qui s’inscrit dans son prolongement. Quatrième et dernière de ce cycle, l’exposition « Joël Ducorroy – plaqué art » est l’occasion de présenter le travail d’un artiste qui se qualifie lui-même de « plaquetitien » et qui occupe depuis une trentaine d’années une place singulière sur la scène artistique nationale.

A mi-temps du pop art et du nouveau réalisme, la démarche de Ducorroy procède de l’appropriation d’un seul et unique matériau, la plaque minéralogique. Ses œuvres sont ainsi constituées de plaques qu’il fait emboutir de mots désignant le contenu du motif virtuellement représenté, bousculant de la sorte nos habitudes tant perceptives que cognitives. Ce sont des images à lire qu’il nous donne ainsi à voir, nous invitant à en imaginer en toute liberté le contenu iconique.

Proche d’artistes comme Raymond Hains, Jacques Villeglé ou Ben, Ducorroy décline ainsi une œuvre d’une étonnante richesse d’invention qui joue de nombreuses références et la rattache à tout un lot d’avant-gardes du XXe siècle, de Dada à l’art conceptuel. À la Chapelle de la Visitation, l’artiste en brossera comme un florilège et y réalisera une installation inédite en forme d’un intérieur privé. Joël Ducorroy, une œuvre... plaqué art.
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Autour de l’exposition
   Conférence jeudi 12 mai 2011 à 20h30
   Conférence de Philippe Piguet : « Art, Pop Art et slogan »
   Entrée libre dans la limite des places disponibles
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Exposition à venir :
   Roman Opalka, 2 juillet - 2 octobre 2011
   Chapelle de la Visitation - espace d'art contemporain et Galerie de l'Étrave
L'exposition présentera un ensemble de peintures, estampes et dessins, de la fin des années 50 à aujourd'hui, qui éclairera la démarche radicale de l'artiste : un projet d'œuvre conçu comme un projet de vie.

Franz Ackermann, Vue de l’installation No Roof but the Sky, 2010 © Jens Ziehe, Berlin

Exposition Immersion#
Franz Ackermann/ Elisabeth Ballet/ James Turrell,
Ancienne imprimerie Céas, Valence (Drôme),
du 1er avril au 25 septembre 2011.

Nomade, le musée hors les murs fait escale en 2011 dans un bâtiment industriel idéalement situé en plein coeur de Valence : l’ancienne imprimerie Céas, rue Sévigné.

L’exposition inaugurale, propose aux visiteurs une déambulation, une expérience sensorielle de l’espace et du « paysage » dans l’art contemporain. Elle ne pouvait pas mieux trouver sa place que dans ce bâtiment aux larges volumes, lui-même voué aux circulations et transformations successives : imprimerie, gymnase, musée provisoire…
Avec ses peintures aux couleurs explosives et aux formes ondulantes, Franz Ackermann (Berlin) crée des univers vertigineux, des oeuvres immersives, instables et mouvantes. Le visiteur est pris dans le tourbillon coloré de paysages réels ou imaginaires, transcription de ses voyages de par le monde dont il rapporte croquis et photographies qui viennent nourrir son univers pictural. Les sculptures d’Elizabeth Ballet (Paris) se présentent comme des labyrinthes dans lesquels on ne se perd que par le regard. Elles s’imprègnent de leur environnement, jouant avec les pleins et les vides, les déplacements, la lumière, l’architecture. Les installations de James Turrell (Los Angeles) provoquent une expérience sensorielle hors du commun. Depuis la fi n des années 1960, ses «environnements perceptuels» sont réalisés à partir d’un seul matériau : la lumière, naturelle ou artificielle. Envahi par la lumière, l’espace semble se dissoudre. Face à ce phénomène, le visiteur tentera-t-il de saisir la lumière colorée ?

Des oeuvres inédites dans un lieu industriel patrimonial méconnu
L’exposition sera présentée à l’ancienne imprimerie Céas, dans un espace de 600 m2. Ce bâtiment industriel datant de la fin du 19e siècle, pour la première fois ouvert au public, est voué à une démolition prochaine dans le cadre des réaménagements urbains. Franz Ackermann réalisera sur place une installation associant une peinture murale monumentale et un ensemble d’éléments créant ainsi un univers foisonnant inédit. Elisabeth Ballet réunira des oeuvres récentes et une nouvelle création, réalisée spécifiquement pour IMMERSION. Enfin, en partenariat avec la Fundación Almine y Bernard Ruiz Picasso para el Arte (Madrid), l’exposition présentera Pink Mist (2001), une installation de lumières de James Turrell provenant des collections de la fondation, installée en association avec les ateliers de la Ville de Valence et pour la première fois exposée au public. [D.D.H]

Musée des beaux-arts et d’archéologie
16 rue Jonchère , 26000 Valence
04 75 79 20 80
info@musee-valence.org
http://www.musee-valence.org
Dossier pédagogique…

Exposition de Fanette Muxart
Du 10 avril au 8 mai 2011, du mercredi au dimanche de 14h à 19h
Vernissage le samedi 9 avril à 18h
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Gloria Friedman, G7, 1997, FNAC N°980380 Centre National des arts plastiques

[PORTRAITS]
Œuvres photographiques du Centre National des Arts Plastiques.
Exposition du jeudi 31 mars au samedi 28 mai 2011
Vernissage le jeudi 31 mars à 18h30

Visite guidée le jeudi 7 avril à 19h
Visite pédagogique commentée à destination des enseignants du primaire, des collèges et lycées, animée par Brigitte Baldaquino-Héliès, professeur-relai.

Communément, un portrait est une œuvre qui fige notre image à un moment de notre vie, elle peut aussi nous “immortaliser” dans un décor et des accessoires choisis ou donnés...

Les artistes, peintres, sculpteurs, puis photographes contemporains, prompt à casser les codes, ont définitivement fait du portrait un prétexte ou un support lui permettant par le détournement, l’autodérision, la mise en scène, de produire du sens tout en s’emparant des sujets les plus actuels de la société qui nous entoure. C’est à travers ces quelques filtres que nous pourrons passer de l’une à l’autre des photographies des 17 artistes présentés à La Conciergerie pour l’exposition “Portraits”.

Araki Nobuyoshi, Jean-Claude Bélégou, Marina Bério, Jean-Christian Bourcart, Franck David, Dominique Delpoux, Kamel Dridi, Esther Ferrer, Gloria Friedmann, Pino Guidolotti, John Hilliard, Vladislav Mamyshev, Shirin Neshat, Nomura Yoshinori, Malick Sidibe, Jean-Luc Vilmouth, Ornela Vorpsi.
Plus d’infos…
Téléchargez le dossier pédagogique…

Vernissage le vendredi 18 mars 2011 de 18h à 21h
Performance d'Alice Assouline à 19h

Sur présentation d'une contremarque téléchargeable sur le site internet du CAB, le Centre d'Art Bastille et la Régie du Téléphérique vous offrent le transport en téléphérique de 18h à 20h

L'exposition "Les armes silencieuses" est une proposition de Anaïs Farissier, Barbara Jullien, Angeline Madaghdjian et Arnaud Thomann, étudiants de l'atelier commissariat d'exposition animé par le CAB pour le compte du Pôle de Recherche et d'Enseignement Supérieur Université de Grenoble Bureau Culture et initiatives étudiantes dans le cadre de la semaine "à l'envers".

avec Ivan Argote, Alice Assouline, Fikret Atay, Marjan Denkov, Thomas Deschenaux, Dora Garcia, Philippe Jacq, Riton La Mort, Alessandra Mancini, Deimantas Narkevicius.
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"This ain't no Joke », Sylvain Sorgato
Exposition du 24 mars au 30 avril 2011
Vernissage le jeudi 24 mars à 18h.

Avec cette nouvelle exposition au VOG, l’artiste Sylvain Sorgato applique sa propre méthode au renouvellement de l’art du dessin, et notamment du dessin contemporain. Il réalise à l’aveugle de petits dessins d’autant plus libres qu’ils échappent à tout contrôle. Ces rapides croquis, réalisés de mémoire, détournent leur sujet et traduisent un imaginaire “rock’n'roll” : ils sont tour à tour ou en même temps colorés, délirants, joyeux, graves ou décalés.

Conférence « le dessin au fil du trait , par Fabrice Nesta, historien d’art
jeudi 31 mars à 18h30

Visites commentées, par une médiatrice culturelle, sur rendez-vous et tous les samedis, à 16h.
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Chimères est un opéra numérique d’échelle urbaine qui tente de renouveler l’espace public en le scénarisant, en le représentant autrement. Identité individuelle et appartenance collective, ancrage local et imaginaire planétaire sont au cœur des problématiques travaillées par cette installation qui sera présentée du en avril 2011 dans le cadre du festival « les détours de Babel » dans l’ancien Musée de peinture, Place de Verdun. L’accès est gratuit et cette installation peut être visitée par des enfants et des adolescents de tout âge car ce système narratif d’un type nouveau se à situe entre cinéma d’avant-garde, conte de fée, jeu vidéo et dessin animé.

Du vendredi 15 au vendredi 22 avril,
Ancien Musée de peinture Grenoble de 13h à 19h fermeture le lundi
Vernissage : vendredi 15 avril 18h

Ancrage local et imaginaires planétaires
Durant l’automne 2010, à l’occasion de l’ultime édition du Festival 38e rugissants, laboratoire et le GMVL ont développé un appel à participation : les habitants étaient invités à rejoindre un objet intriguant à mi-chemin entre le studio photographique ambulant et le studio d’enregistrement en plein air. Maryvonne Arnaud réalisa une encyclopédie photographique des attitudes et des postures corporelles d’aujourd’hui, tandis que Bernard Fort enregistrait les habitants dans leurs multiples langues maternelles.

À ce premier processus de travail, inscrit localement, s’ajoute un second cercle de collecte, disséminé sur la planète. Sons et images furent ensuite finement ciselés puis assemblés numériquement dans un système dynamique asynchrone afin de générer un résultat évoluant sans cesse.
Cet opéra, projeté et diffusé en continu dans l’ancien musée de peinture, recompose joyeusement les articulations entre l’identité individuelle et les appartenances collectives, l’ancrage local et les imaginaires planétaires, ces articulations vertigineuses qui travaillent aujourd’hui profondément le corps social. Il reconstruit ainsi un voisinage mondial articulant les attachements identitaires contemporains, interrogeant l’émergence de formes hybrides, et assemble le cercle familier et composite de notre entourage quotidien avec l’altérité radicale, luxuriante, instable, du système monde.

Pistes pédagogiques :
Qu’est ce que l’identité individuelle ? Qu’est ce que l’appartenance collective ? Comment s’articulent l’ancrage local et les imaginaires planétaires ? Comment s’habille-t-on en Inde aujourd’hui ? De quoi nous renseignent, le grain de la voix, la confrontation des souffles, des mots et des expressions ? Comment ces images fixes créent-elles l’illusion du mouvement ? Une narration ? Que voyons nous ? Cinéma d’avant-garde, conte de fée, jeu vidéo, dessin animé ?
Accueil des publics scolaires :
Entrée libre - 13h à 19h (fermeture le lundi)
Réservation : Musidauphins : Tél. / Fax : 04 76 44 28 79 contact@musidauphins.fr Document d’aide à la visite remis sur place

Accompagnement pédagogique :
• pour le primaire : Ève Feugier, conseillère pédagogique départementale arts visuels,
    eve.feugier@ac-grenoble.fr
• pour le secondaire : Isabelle Nicoladzé chargée de mission architecture, patrimoine à la DAAC    isabelle.nicoladze@ ac-grenoble.fr

Télécharger la fiche d’aide à la visite…
Télécharger la fiche Studio babel projet musique…
Télécharger la plaquette de présentation du projet…
(Le projet intitulé à l’origine Studio Babel a été récemment renommé).

Exposition du 16 mars au 10 avril 2011 dans La Galerie,
organisée dans le cadre du "Printemps des poètes"
«  La poésie n'est pas une solution »

Invitation faite pour la 4e année à la revue Faire Part dans le cadre du Printemps des poètes, ette année autour du poète Jean Marie Gleize, écrivain, essayiste et du numéro 26/27 de la revue faire part qui lui est consacré.

Cette exposition présentera les travaux originaux des artistes ayant collaboré par des œuvres au n° 26 / 27 :
Fabienne Barre, Vincent Bonnet, Jacques Clerc, Michel Crozatier, Hubert Lucot, Brigitte Palaggi, Eric Pellet, Claude Royet-Journoud, Patrick Sainton, Jean-Louis Vila.... photographies et livres d'artistes...

Rencontre avec les enseignants de 17h à 18h le vendredi 18 mars, jour du vernissage
Intérêts pédagogiques et culturels
     Jouer avec les transversalités texte /image
     Découvrir des langages poétiques et plastiques, des techniques
     Lire l’image
     Découvrir un auteur et ses filiations artistiques
     Acquérir des références
Un livret pédagogique et d'accompagnement de votre visite sera disponible dès le 18 mars.

L'accueil des groupes scolaires se fera du lundi au vendredi de 9h à 12h et de 14h à 18h et selon nos disponibilités.
Inscription sur rendez vous uniquement auprès de Carole Clauss, illetterie du théâtre : 04 75 64 93 39, visites animées par une médiatrice, entrée gratuite

Un colloque est organisé le samedi 19 mars 2011, tout au long de la journée : rencontres, lectures et interventions de Benoît Auclerc, Nathalie Barberger, Alexandre Eyriès, Alessandro de Francesco, Noura Wedell, sur les travaux de et avec Jean-Marie Gleize. Avec Christian Arthaud, Alain Chanéac, Jean Gabriel Cosculluela & Alain Coste (du comité de rédaction de la revue).
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"La cité des étoiles », Ludovic Paqualier

Exposition du 19 mars au 23 avril 2011
Vernissage le vendredi 18 mars à partir de 18h.

Ludovic Pacquelier puise dans les images de publicités, livres ou revues, pour raconter des histoires essentiellement au moyen du dessin et de la peinture. Il échafaude des mondes proches de l'univers de la science-fiction, menacés de dangers divers ou peuplés de villes-fantômes. Les lieux oscillent entre une architecture en friche et des décors de ruines. Les formes, les scènes et les paysages représentés dans les œuvres de Ludovic Pacquelier associent le plus souvent un espace fragmenté à une dimension de prolifération. Des figures indéterminées et inachevées y évoluent dans une atmosphère énigmatique, parfois cinématographique. L'artiste s'empare souvent du potentiel du site où il expose, l'histoire et les caractéristiques du territoire pouvant devenir le lieu d'un scénario fantastique.

Conférences :
Un cycle de conférences consacré au dessin contemporain sera animé par Fabrice Nesta
     Première partie : jeudi 24 mars à 19 h, Espace Vallès.
     Deuxième partie : jeudi 21 avril à 19 h, Espace Vallès.
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Jeudi 17 mars 2011, 19h, amphi Gosse, Grenoble INP

Dans le cadre des manifestations organisées pour les 50 ans de l'Ensimag, l'école propose un cycle de conférences sur la thématique "Histoire de l'Art, mathématiques et informatique". De Léonard de Vinci à Bernar Venet, en passant par Roman Opalka, Jasper Jones ou Bill Viola, ce sont les univers d'artistes très différents qui sont explorés.

Cette conférence traitera de la relation étroite des artistes avec les chiffres, la géométrie, et les suites de nombres. Le nombre d'or, l'addition, la suite de Fibonacci, les fractales sont autant d'éléments que de nombreux artistes utilisent dans leur travail.

Après une première intervention généraliste et historique sur le thème "Art et sciences", et cette seconde conférence plus directement liées aux thématiques scientifiques de l'Ensimag. Le cycle se terminera le le 7 avril avec la thématique "Art et nouvelles technologies".

Conférencier : Fabrice Nesta, artiste-plasticien, enseigne le dessin et l'histoire de l'art à l'École Supérieure d'Art de Grenoble et à Supcréa.
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Exposition « Mehr Licht ! » de l’illustrateur plasticien Jochen Gerner,
6 séries de dessins : Mehr Licht !, Technicolor, Flipochrome, Wwwroom, Reward-dead or alive, Home

Exposition du 25 mars au 13 juillet 2011.
Vernissage le jeudi 24 mars à 18h30
Suivi d’une carte blanche de courts-métrages d’animation, composée en collaboration avec le Festival d’un jour/L’Équipée.
   • Dying living woman de Camille Henrot
   • Dots de Mac Laren
   • 69 de Robert Breer
   • 70 de Robert Breer
   • Kaleidoscope de Len Lye
   • One Last Scoop de Laurent Cilluffo.

Auteur de bandes dessinées, dessinateur et illustrateur, Jochen Gerner explore des champs d’expérimentation graphiques qui le situent dans un entre-deux : entre bande dessinée et art contemporain. Connu du grand public pour ses strips publiés dans Les Inrockuptibles, Libération ou Le Monde, son trait minimaliste séduit également les éditeurs jeunesse.

Son travail emblématique reste TNT en Amérique où Jochen Gerner recouvre l’album d’Hergé, Tintin en Amérique, en ne conservant que les onomatopées, et dévoile une lecture plus politique que prévue. L’artiste franchit, ainsi, volontairement, des frontières en procédant par détournement à partir de différents supports imprimés : des papiers peints et toutes sortes de cartes – postales et topographiques, des couvertures de livres, des cartons d’emballages, des manuels scolaires, des planches de bande dessinée, etc.
Jochen Gerner détourne, manipule, déplace, vide, remplit les images pour mieux les révéler et faire apparaître un sens caché. En ce sens, il est un visionnaire, c’est-à-dire un artiste capable de voir au-delà de la perception immédiate.
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L’univers du manga
Exposition du 5 avril au 30 avril 2011
à la médiathèque J.-J. Rousseau de Chambéry.

A travers des panneaux explicatifs (historiques, techniques et graphiques), des dessins de mangaka et amateurs d'ArtBook ainsi que des objets (magazines, mangas en version japonaise et française, figurines diverses), cette exposition tout public a pour objectif de faire découvrir les origines du manga, sa fabrication, son arrivée en France et son développement actuel. Il est également prévu d’installer un mur d’exposition sur lequel les élèves pourront s’exprimer par le dessin manga, soit directement sur le mur, soit en affichant des travaux réalisés à la maison ou dans le cadre de clubs manga.

Véritable phénomène social et culturel, le manga fait partie de la culture des adolescents qui en sont les plus gros lecteurs.

La médiathèque propose d’accueillir les élèves des collèges pour une présentation commentée de cette exposition (durée une heure environ). Les classes seront accueillies sur rendez-vous le mardi, jeudi et vendredi entre 13 h et 17 h et le jeudi et vendredi matin de 9h30 à 11h30.

Pour plus d’informations et pour réserver votre créneau horaire, merci de contacter par courriel :
     Nicole Vérot : n.verot@mairie-chambery.fr
     Hélène Cumin : h.cumin@mairie-chambery.fr
     ou par téléphone : 04 79 60 04 04

Exposition du samedi 5 mars au dimanche 29 mai 2011
La Russie en peinture.

Evénement exceptionnel et prestigieux, l'exposition Chagall et l'avant-garde russe s'inscrit dans le cadre des projets hors les murs que réalise le Centre Pompidou de Paris, depuis plusieurs années dans les grands musées de région. Pour Grenoble, une facette moins connue des ses collections est mise en avant : les avant-gardes russes. Un angle d'approche original a été retenu pour traiter ce sujet puisque c'est l'œuvre inclassable de Chagall qui permet d'aborder, suivant différents temps forts, les étapes successives de l'avant-garde du début du XXe siècle en Russie.

Le parcours rassemble 150 peintures, sculptures, dessins et photographies, qui débute avec les œuvres de jeunesse de Chagall et les œuvres d'autres artistes d'avant-garde : Kandinsky, Larionov, Gontcharova, Pougny, etc.
À cette occasion, le musée a mis en place un site dédié à l’exposition, sur lequel vous trouverez le programme des rencontres organisées autour de l’exposition, ainsi que des guides à télécharger, (mp3 et application iPhone).
http://www.chagall-grenoble.com

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Présentation du parcours par Étienne Brunet, professeur d’arts plastiques :
     • mercredi 16 mars à 16h
     • mercredi 30 mars à 14h
     • mercredi 6 avril à 16h
     • mercredi 20 avril à 16h
     • mercredi 11 mai à 15h30
     • mercredi 18 mai à 14h
Inscription obligatoire auprès du professeur relais : etienne.brunet@ac-grenoble.fr

L'institut Indisciplinaire organise une Aire d’Indiscipline le mercredi 23 février 2011 au Vin au Vert (3 rue des Clercs à Grenoble) de 18h à 20h.

Cette Aire d'Indiscipline, animée par Alice Vergara (intervenante en art contemporain) et intitulé « La délocalisation du commissaire », portera sur le thème de la fonction de commissaire d'exposition, dont la naissance est en lien avec la pratique artistique de l'exposition, mais aussi sur son rôle et ses champs d'application qui ont tendance depuis quelques années à s'élargir, voire à muter.

Figure proéminente du champ professionnel de l’art contemporain mais peu connue du public, le commissaire d’exposition sera, dans ce séminaire, appréhendé du point de vue de l’histoire culturelle.

Il y a quelques jours, le service de messagerie internationale e-flux a diffusé auprès de ses 50 000 abonnés un appel, émis à la fois par le FRAC Lorraine et le Musée d’art contemporain de Vigo (Espagne), pour un concours ouvert aux commissaires d’exposition nés après 1971. Le lauréat organisera une exposition dans l’une et l’autre des institutions impliquant les œuvres des collections, avec un budget solide... Ce message exprime la mutation de la fonction du commissaire d’exposition, au fil des dernières décennies, dans un contexte artistique lui-même en évolution constante. Longtemps imaginé au service d’un territoire d’appartenance (musée, collection, patrimoine) par sa haute spécialisation scientifique, le commissaire pourrait désormais entreprendre tout projet en tout lieu. Il apparaît désormais comme un agent autonome.

Alice Vergara présentera d’abord l’émergence de la fonction commissariale, accélérée à la fin des années 60 par la singularisation de l’exposition comme pratique artistique, puis les affranchissements successifs de ses points d’ancrage. La définition d’un champ d’étude multidisciplinaire, il y a vingt ans dans le monde anglo-saxon mais encore balbutiante en France, se produit désormais dans un contexte socio-économique de multiplication des acteurs professionnels, d’ « événementialisation » des expositions et de mise en concurrence des territoires.
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Les impromptus : L’illusion de…
Une proposition du collectif Coin.
Du 5 au 20 février 2011
Vernissage le vendredi 4 février, 18h

Avec : Romain Beaucousin, Edith Dekyndt, Marco Evaristti, Thomas Grünfeld, Maxime Houot, Ange Leccia, Guillaume Le Moine, Julien Loustau, Elodie Pong, Guido van der Werve.

Le Collectif Coin est un projet artistique grenoblois attaché à la création et la diffusion d’oeuvres transdisciplinaires. Ses champs d’expérimentation couvrent principalement la musique, la vidéo, l'installation et la performance, tout en interrogeant de façon transversale le rapprochement entre Art(s) et Science(s).
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« Somewhere here on earth »
Exposition de Gilles Balmet

Gilles Balmet est né en 1979 à la Tronche. Il est artiste. Peintre, dessinateur, vidéaste et photographe, il vit à Paris et Grenoble où il possède un atelier dans lequel il expérimente constamment de nouveaux modes de créations d’images. Il revient d'un séjour de six mois passés à Kyoto et dans le reste du Japon. Son travail récent s’est concentré sur des œuvres sur papier, sur toiles et des photographies situées à la frontière entre abstraction et figuration.

Exposition du 18 février au 29 mai 2011
Vernissage le vendredi 18 février, à 18h

Dimanche 27 mars à 15h, rencontre avec l’artiste suivie d’une signature du catalogue à parître chez Farge éditions, en présence de l’éditeur.
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Musée Géo-Charles, 1 rue Géo-Charles, 38130 Échirolles
Entrée gratuite
Ouvert du lundi au vendredi de 14h à 18h, samedi et dimanche de 14h à 19h

JAPANCONGO
Double regard de Carsten Höller sur la collection de Jean Pigozzi.

Le collectionneur Jean Pigozzi propose à l’artiste Carsten Höller de créer une exposition présentant les œuvres contemporaines congolaises et japonaises de sa collection. Cette exposition met en exergue les différences et les points de référence communs aux préoccupations des artistes de deux continents aussi éloignés que l’Afrique et l’Asie, soulignant l’idée que toutes les formes d’art possèdent un fond commun.

« Quand Jean Pigozzi me demanda si j’accepterais d’être commissaire d’une exposition de sa collection d’art africain, je restais d’abord sceptique. Mais quand il me dit qu’il avait constitué récemment une collection d’art contemporain japonais, je fus alors réellement enthousiaste. »
Carsten Höller

Exposition du 6 février au 24 avril 2011
Vernissage le samedi 5 février à 18h

Les rendez-vous du service éducatif :
Pour découvrir l’exposition, Anne Langlais-Devanne responsable du service des publics et Claire Laloy professeur relais vous proposent une visite les mercredis 16 février et 16 mars à 14h.
Inscription conseillée au 04 76 21 65 27

ESPACE DÉTENTE
Amandine Zaïdi Didier Hébert-Guillon
Exposition du 21 janvier au 18 mars 2011, fermeture du 2 au 12 mars
Vernissage le jeudi 20 janvier 2011 à 18h30

Pour préparer votre venue avec une classe, une visite pédagogique est programmée le lundi 7 février à 19h par Brigitte Héliès, professeur-relais.
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L’art non objectif évolue dans la sphère de l’art abstrait, dans la lignée des théoriciens qui au début du XXème siècle ont rompu avec la tradition de la représentation figurative. Au premier rang desquels on trouve Casimir Malevitch (Kiev, 1878-Lénigrad, 1935) et son Quadrangle noir première oeuvre totalement non-objective. Mais également Marcel Duchamp (1887-1968) considéré comme le père du Pop Art et de l’art conceptuel.

L’exposition qui s’intitule « Retour aux bases, back to basics » rassemble plus de 20 pièces, peintures, installations, sculptures qui n’ont pas d’autre prétention que proposer au visiteur “ce que vous voyez est ce que vous voyez”.

Du 14 février au 5 avril 2011
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Moulins de Villancourt, 85 cours Saint-André, 38800 Pont-de-Claix
04 76 98 53 63

Devenez médiateur d'un soir !
Venez animer la 8e Nocturne des étudiants le 23 mars 2011 !

La Nocturne offre aux étudiants la possibilité de présenter une œuvre de leur choix parmi les collections du musée. Aucune formation spécifique n'est exigée : tous les talents sont les bienvenus !

ou

Intégrez "le staff" de la Nocturne !
Vous souhaitez vous investir autrement dans la Nocturne, accueillir et guider le public au cours de la soirée ? Rejoignez "le staff" et venez partager avec l'équipe du musée les préparatifs et l'organisation de cette soirée !


Réunion d'information générale sur la Nocturne :
mercredi 19 ou jeudi 20 janvier 2011 à 18h au musée de Grenoble
Renseignements :
Coralie 06 82 33 74 56
musee.campus@ville-grenoble.fr

  
Exposition du 21 janvier au 26 février 2011.

James Granjon peint principalement des portraits, à partir de clichés photographiques issus de la presse, de la publicité ou de ses propres photographies de famille, dans la lignée d'artistes comme Malcom Moreley ou Chuck Close. Il procède par superpositions de couches de peinture qui peu à peu effacent l'image initiale. Le changement d'échelle opéré ici modifie notre rapport à l'espace, proposant une confrontation frontale entre notre corps et la peinture.

Jean-Frédéric Coviaux s'inscrit dans une certaine tradition de la peinture. Il peint pour l'essentiel des séries de portraits inspirées de photographies anciennes et contemporaines. Son approche du sujet se fait de manière sobre et méticuleuse, comme si peindre était arracher un visage à la mort, comme une célébration de l'humain et de sa mémoire.

Conférences d'histoire de l'art par Fabrice Nesta

"La sculpture aujourd'hui", 4ème partie, jeudi 27 janvier 2011, à 19 h à l'Espace Vallès.
"La sculpture aujourd'hui", 5ème partie, jeudi 10 février 2011, à 19 h à l'Espace Vallès.

Exposition temporaire
"Dans l'atelier de Carin Goldberg"

Dans le cadre des 20 ans du Mois du Graphisme, le musée accueille l'exposition "Dans l'atelier de Carin Goldberg". Carin Goldberg vit et travaille à Brooklyn. Elle enseigne le graphisme à la prestigieuse School of Visual Arts. Graphiste et directrice artistique, elle a collaboré avec les plus importantes maisons d'édition de disques américaines ainsi que pour de nombreux magazines. Elle est l'une des rares graphistes aux États-Unis dont l'activité se concentre dans le secteur culturel et éditorial.

Pour cette première exposition consacrée en Europe à cette œuvre considérable, Carin Goldberg dévoile son processus de travail, ses esquisses, ses photographies, ses collaborations avec les plus grands photographes et illustrateurs, mais aussi ses nombreuses propositions pour des couvertures de magazines ou de disques.

Des Goûters de l’art
Dimanche 16 janvier 2011 à 15h, visite commentée de l'exposition par Marie-Laure Pequay, guide au Musée Géo-Charles.
(Entrée gratuite, réservation obligatoire au 04 76 22 58 63)

Renseignements et réservations :
Centre du Graphisme, 9 rue du 19 mars 1962, 38130 Échirolles
04 76 23 64 65 ou 04 76 23 54 67
centregraphisme@wanadoo.fr
http://www.graphisme-echirolles.com

Exposition de Stefan Brüggemann
NO TIME NO RETURN NO TITLE
Du 14 décembre 2010 au 26 février 2011
Vernissage le mardi 14 décembre 2010 à 18h30

Né en 1975 à Mexico, Stefan Brüggemann vit et travaille entre Londres et Mexico. Son travail est souvent associé à l'héritage de l'art conceptuel. Il s'intéresse au langage et aux “mots qui deviennent des images”. Les signes-images de l'artiste fonctionnent comme des mémoriaux pour “réactiver le langage”, créer des espaces imaginaires ou des expériences pour le public, à travers le regard singulier et toujours nouveau du spectateur.

« To be political it has to look nice », « Sometimes I think sometimes I don’t », « I can’t explain », « Looks conceptual », « This is not supposed to be here » : souvent formulés sous forme de néons, les blocs de textes de Stefan Brüggemann - sans conjugaison et dépourvus de message - rendent le langage intensément visuel, lumineux, presque éblouissant. Étrange paradoxe que celui que manipule l’artiste, puisqu’il semble consister à rendre visible des mots dont le spectateur ne peut a priori ni parler ni débattre ; les affirmations proposées étant comme étrangères à elles-mêmes. La stratégie principale de Brüggemann, à travers la diversité des matériaux et des médiums qu'il utilise (néons mais aussi tags ou lettres adhésives ou lettres en polystyrène), consiste à introduire une sensibilité “pop” dans une démarche conceptuelle pour la rendre efficace.
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Visites commentées :
    • samedi 18 décembre à 16h
    • lundi 14 janvier à 12h30
    • mercredi 26 janvier à 16h
    • mardi 8 février à 18h30
    • samedi 19 février à 16h
    • vendredi 25 février à 12h30

Villa du Parc, parc Montessuit, 12 rue de Genève, 74100 Annemasse
Tél. 04 50 38 84 61 Fax 04 50 87 28 92
communication@villaduparc.com
http://www.villaduparc.com
Ouverture : Du mardi au samedi de 14h à 18h30 et sur rendez-vous
Entrée libre