mars 2007
Cinéma et Histoire de la Danse Contemporaine à MC2
30/03/07 10:05

Avec la complicité de la Cinémathèque de la danse, Denise Luccioni, spectatrice privilégiée des arts de son temps, se propose en deux rendez-vous de retracer en paroles et en images les grandes lignes de la danse française depuis le début des années 1980 : sources, filiations, dénominations ; esthétiques, concepts moteurs ; et constitution d’une institution.
Rendez-vous en deux épisodes dans le Petit Théâtre de la MC2:
Premier épisode : mercredi 14 mars 2007 à 18h
Deuxième épisode : mercredi 25 avril 2007 à 18h
En collaboration avec Cité Danse
Entrée libre dans la limite des places disponibles
Réservations au 04 76 00 79 00
du mardi au vendredi de 12h30 à 19h00
le samedi de 14h00 à 19h00
Plus d'informations sur les spectacles et les activités de la MC2: sur http://www.mc2grenoble.fr
LIVE ! au Magasin
01/03/07 11:13
Samedi 28 avril
2007
Projections de pièces dansées et filmées au Magasin, et une nouvelle performance de Linder
14H30 Et nous sortîmes par là pour revoir les étoiles, 2006, 52’
Film
réalisé par Alain Massonneau
Projection en présence du réalisateur.
(Vidéo Dvcam 52’/2006, voix-off de Catherine Page)
En 2002 le chorégraphe Jean-Claude Gallotta invite le réalisateur Alain Massonneau à filmer son travail, alors que le studio du CCNG est hébergé au Magasin pendant les travaux de la Maison de la Culture.. Rencontre entre l’homme qui danse et l’homme qui filme dans un pas de deux. Durant 2 ans, l’homme qui filme rendra visite à l’homme qui danse.
Le film est une lettre que le réalisateur adresse à Jean-Claude Gallotta, à la fois portrait sensible et esquisse du geste d’auteur à l’œuvre, celui du danseur et celui du filmeur, relais qui se passe de l’un à l’autre, matière en travail et en transformation.
16H Dancing Killing, 2007, 90’ (copie de travail)
Film
réalisé par François Nouguiès
Projection en présence du
réalisateur.
En 2006, l’artiste François Nouguiès et
son équipe de l’école d’art de Grenoble organisent au
Magasin un marathon de danse qui prend comme point de départ On
achève bien les chevaux, livre d’Horace McCoy (1935) et film
culte de Sydney Pollack (1969).
On achève bien les chevaux
traitait, on s’en souvient, des marathons de danse qui
fleurissaient aux Etats-Unis dans les années 30 durant la grande
dépression.
Un marathon performatif de 24 heures construit
par séquences de jeu, aux allures d’expérience de télé
réalité à laquelle les candidats s’inscrivent par
casting.
Le film du marathon se construit au long de la
performance proposant au gagnant de devenir le personnage principal
du film.
Au-delà du simple remake et d’une mise en
scène sans répétition, la singularité de ce projet tient en sa
transposition ultime.
18H I don’t see how I can write on the wall about roses (titre à confirmer)
Performance
de Linder (nouvelle création)
Durée de plusieurs heures. Le
public a la possibilité d’y assister à son gré (tout comme
l’artiste peut vouloir s’isoler par moments avec les
participants de la
performance).
Suite à sa
participation à l’exposition La sphère punk au Magasin en
2006, Linder est de retour pour une performance inédite, réalisée
en collaboration avec des musiciens et des danseurs de Grenoble.
Son point de départ est l’ancien rite de l'élection de la
Rosière, fille modèle qui représente la bonté d’une
communauté. Ce rite se perpétue dans le village anglais de
l’artiste et dans plusieurs communes de la région
grenobloise.
Cette performance sera la première d’une
trilogie qui se déroulera
ensuite à Bâle (die Liste, été
2007) et à New York (PS 1, automne 2007).
Avec la
participation de Ian Devine, Inlandsis, et les étudiants de
l’Université de Grenoble et de l’Ecole supérieure
d’art de Grenoble.
En continu ( dans le salon rouge ) Papillon, 2006
Vidéo
de Petra Hollenbach
La ballerine Emma Livrys brûle vive sur
la scène de l’opéra de Paris. Papillon travaille en couleur
et lumière cette chorégraphie faite spécialement pour cette star du
19e siècle. Musique de Tetsuo Sakae, dansé par Barbora
Babkova.
Gratuit avec votre billet d’entrée aux
expositions en cours.
Projections de pièces dansées et filmées au Magasin, et une nouvelle performance de Linder
14H30 Et nous sortîmes par là pour revoir les étoiles, 2006, 52’

Projection en présence du réalisateur.
(Vidéo Dvcam 52’/2006, voix-off de Catherine Page)
En 2002 le chorégraphe Jean-Claude Gallotta invite le réalisateur Alain Massonneau à filmer son travail, alors que le studio du CCNG est hébergé au Magasin pendant les travaux de la Maison de la Culture.. Rencontre entre l’homme qui danse et l’homme qui filme dans un pas de deux. Durant 2 ans, l’homme qui filme rendra visite à l’homme qui danse.
Le film est une lettre que le réalisateur adresse à Jean-Claude Gallotta, à la fois portrait sensible et esquisse du geste d’auteur à l’œuvre, celui du danseur et celui du filmeur, relais qui se passe de l’un à l’autre, matière en travail et en transformation.
16H Dancing Killing, 2007, 90’ (copie de travail)

18H I don’t see how I can write on the wall about roses (titre à confirmer)

En continu ( dans le salon rouge ) Papillon, 2006
