Ballet du Grand Théâtre de Genève à la Rampe
30/04/08 22:29

Programme Stravinski
Mardi 6 mai 2008 à 20h
Le Ballet de Genève présentera à La Rampe une soirée Stravinski. C’est l’histoire de trois marionnettes sur le champ de foire : le pantin Petrouchka est amoureux d’une ballerine à fi ls, laquelle est aussi convoitée par un Maure… C’est aussi l’histoire des rites païens de l’antique Russie, lorsque le printemps revient et que la tribu sacrifi e une jeune fi lle selon un cérémonial aussi violent que sensuel. Nombreux sont les chorégraphes qui, tout au long du 20e siècle, ont voulu raconter ces deux histoires à leur manière. De plain-pied avec le 21e siècle dont ils ont saisi le mouvement incessant et les bariolages post-modernes, Benjamin Millepied et Andonis Foniadakis s’y essaient à leur tour.
Plus d'infos :
http://mc2-grenoble.fr/mc2_programme_reservation/zoom.php?spec=685
http://www.ville-echirolles.fr/sortir/larampe/programme/0708/danse_geneve.html
Alerte au Pacifique !
30/04/08 09:54
Jeudi 29 mai 2008 à
20h00
Andréa Sitter - Compagnie Die Donau
2 solos au féminin par la même interprète :
- « La Reine s’ennuie » (durée : 1h) Le spectateur se laisse séduire par la virtuosité de l’interprète qui danse la solitude certainement, la quête d’amour sans aucun doute, adoptant une chorégraphie fantasque et déjantée.
- « I’m Kopf » (durée : 16 min) Que se passe-t-il dans la tête d’une danseuse contemporaine ? Entre stress et humour, corps et mots, introspection verbale et spatiale. Une conférence dansée sur la question de l’acte « créateur ».
Andréa Sitter
Artiste allemande, Andréa Sitter a suivi des études de danse classique à l'Académie de Munich, et parallèlement des études de violon et de théâtre. Elle s'est formée à la danse contemporaine auprès d'Alvin Nikolaïs, Carolyn Carlson, Mathilde Monnier, Peter Goss, Jean François Duroure, Dominique Mercy et la compagnie Pina Bausch.
Elle a travaillé comme danseuse, notamment avec Odile Azagury, Dominique Boivin et Jean Gaudin mais également comme comédienne avec Jean Louis Hourdin, Eugène Durif, Jean Marie Maddudda, entre autres.
Depuis 1995, elle se produit en tant que chorégraphe, seule ou avec un musicien, un plasticien ou un comédien, en Allemagne ou en France.
Tarifs : 10 euros plein tarif et 6 euros tarif réduit
Réservation à partir du 20 avril au Pacifique | CDC 04 76 46 33 88 ou contact@pacifique-cdc.com
http://www.pacifique-cdc.com/
Andréa Sitter - Compagnie Die Donau
2 solos au féminin par la même interprète :
- « La Reine s’ennuie » (durée : 1h) Le spectateur se laisse séduire par la virtuosité de l’interprète qui danse la solitude certainement, la quête d’amour sans aucun doute, adoptant une chorégraphie fantasque et déjantée.
- « I’m Kopf » (durée : 16 min) Que se passe-t-il dans la tête d’une danseuse contemporaine ? Entre stress et humour, corps et mots, introspection verbale et spatiale. Une conférence dansée sur la question de l’acte « créateur ».
Andréa Sitter
Artiste allemande, Andréa Sitter a suivi des études de danse classique à l'Académie de Munich, et parallèlement des études de violon et de théâtre. Elle s'est formée à la danse contemporaine auprès d'Alvin Nikolaïs, Carolyn Carlson, Mathilde Monnier, Peter Goss, Jean François Duroure, Dominique Mercy et la compagnie Pina Bausch.
Elle a travaillé comme danseuse, notamment avec Odile Azagury, Dominique Boivin et Jean Gaudin mais également comme comédienne avec Jean Louis Hourdin, Eugène Durif, Jean Marie Maddudda, entre autres.
Depuis 1995, elle se produit en tant que chorégraphe, seule ou avec un musicien, un plasticien ou un comédien, en Allemagne ou en France.
Tarifs : 10 euros plein tarif et 6 euros tarif réduit
Réservation à partir du 20 avril au Pacifique | CDC 04 76 46 33 88 ou contact@pacifique-cdc.com
http://www.pacifique-cdc.com/
Présentation professionnelle au Pacifique
28/04/08 09:55
Mardi 6 mai 2008 à
16h
Matthieu Hocquemiller - Cie à contre sens du poil
“J'arrive plus à mourir”, coproduction du Pacifique | CDC
Matthieu Hocquemiller
Issu des arts du cirque, passionné pour les arts du mouvement, il se tourne vers la danse après une formation aux arts du cirque. Dans une vraie boulimie de danse, il s’initie à des pratiques très diverses : contemporain, capoeira, hip-hop, contact-impro. Il est également interprète pour des chorégraphes tels que Christine Bastin, Michel Kéléménis, Laura Scozzi, Cyril Viallon. Il se lance avec ses propres chorégraphies en 2004, avec « J’a », solo pour un danseur et un banc et en 2005, le duo « On épluche bien les oignons ».
“J’arrive plus à mourir”
Parce que nous voulons vivre. Tout simplement.
Nous sommes les premières générations adultes à vivre une bascule historique: le passage d’un futur chargé de promesses à un futur de menaces. Dans quel état sommes nous ?
Au prix de quels sacrifices intimes se régule-t-on à une normalité pathologique? Au prix de quels dénis, de quels subterfuges pour ne plus voir la violence ? Violence contre le sens. Violence de classe. Idéologie de la marchandise et inhibition par la peur, latente, généralisée. Comment le contexte s'inscrit dans nos corps, dans nos imaginaires, dans nos petites histoires. A quel prix ?
Bordel ! Nous n’allons pas rester le cul planté sur nos nombrils en attendant le désastre. Nous allons faire une grande fête. Nous chanterons comme des cygnes.
Nous expliquerons sérieusement ce qu'est la danse, l'inscription de l'intime et du collectif, l'articulation complexe de la viande et de l'urgence.
On dansait, paraît-il, dans certaines communautés pour conjurer le sort ou faire tomber la pluie. La danse était déjà complètement inutile car elle n’a probablement jamais fait tomber une goutte d’eau. Elle était sans doute déjà essentielle car elle était un moment où la communauté disait : nous souffrons tous, ici et maintenant, de la même sécheresse.
De quelles sécheresses souffrons nous aujourd’hui ?
Matthieu Hocquemiller - Cie à contre sens du poil
“J'arrive plus à mourir”, coproduction du Pacifique | CDC
Matthieu Hocquemiller
Issu des arts du cirque, passionné pour les arts du mouvement, il se tourne vers la danse après une formation aux arts du cirque. Dans une vraie boulimie de danse, il s’initie à des pratiques très diverses : contemporain, capoeira, hip-hop, contact-impro. Il est également interprète pour des chorégraphes tels que Christine Bastin, Michel Kéléménis, Laura Scozzi, Cyril Viallon. Il se lance avec ses propres chorégraphies en 2004, avec « J’a », solo pour un danseur et un banc et en 2005, le duo « On épluche bien les oignons ».
“J’arrive plus à mourir”
Parce que nous voulons vivre. Tout simplement.
Nous sommes les premières générations adultes à vivre une bascule historique: le passage d’un futur chargé de promesses à un futur de menaces. Dans quel état sommes nous ?
Au prix de quels sacrifices intimes se régule-t-on à une normalité pathologique? Au prix de quels dénis, de quels subterfuges pour ne plus voir la violence ? Violence contre le sens. Violence de classe. Idéologie de la marchandise et inhibition par la peur, latente, généralisée. Comment le contexte s'inscrit dans nos corps, dans nos imaginaires, dans nos petites histoires. A quel prix ?
Bordel ! Nous n’allons pas rester le cul planté sur nos nombrils en attendant le désastre. Nous allons faire une grande fête. Nous chanterons comme des cygnes.
Nous expliquerons sérieusement ce qu'est la danse, l'inscription de l'intime et du collectif, l'articulation complexe de la viande et de l'urgence.
On dansait, paraît-il, dans certaines communautés pour conjurer le sort ou faire tomber la pluie. La danse était déjà complètement inutile car elle n’a probablement jamais fait tomber une goutte d’eau. Elle était sans doute déjà essentielle car elle était un moment où la communauté disait : nous souffrons tous, ici et maintenant, de la même sécheresse.
De quelles sécheresses souffrons nous aujourd’hui ?
Erna Ómarsdóttir à Grenoble en mai
01/04/08 21:42
Deux films dans le
cadre du festival La ruée vers l'Art : IBM 1401, A user's
manual et The unclear
age
Plus d'infos…
Et la dernière création d'Erna Ómarsdóttir et Lieven Dousselare, "the Talking Tree", au Ciel, le jeudi 22 mai 2008 à 20h30, dans le cadre du festival Transfo#2
Pour sa nouvelle création, « The talking tree », elle prête sa voix et son corps à un arbre... un arbre de vie et de prospérité, dansant et chantant, persuadé d’être un prophète omniscient vieux de 3000 ans avec des pouvoirs alchimiques. Accompagnés par une mélodie, ils ont pour mission de parcourir la terre pour raconter des histoires ayant le pouvoir de changer le monde.
Faire vivre ce « conte de fée surréaliste » qu’elle a elle-même écrit lui apparaît comme un nouveau défi : « C’est un challenge pour moi, je n’ai jamais vraiment parlé au public. J’apprécie ce rôle de conteuse avec ces envolées vocales qui peuvent rappeler le death metal ». Plus que jamais, Erna Omarsdottir crée un univers totalement singulier, déroutant voire dérangeant, sans aucune concession : « Je ne cherche pas à plaire. On peut aimer ou détester ce que je fais. Mais je continue à vouloir emmener les gens dans mon voyage. Je crois que le plus important est de suivre son instinct, d’avoir le courage de suivre sa voie, de ne pas avoir peur. »
À l'issue du spectacle, une rencontre sera organisée avec Erna Ómarsdóttir.
http://www.ernaomarsdottir.com/
Plus d'infos sur le site de la régie2c…
Plus d'infos…

Et la dernière création d'Erna Ómarsdóttir et Lieven Dousselare, "the Talking Tree", au Ciel, le jeudi 22 mai 2008 à 20h30, dans le cadre du festival Transfo#2
Pour sa nouvelle création, « The talking tree », elle prête sa voix et son corps à un arbre... un arbre de vie et de prospérité, dansant et chantant, persuadé d’être un prophète omniscient vieux de 3000 ans avec des pouvoirs alchimiques. Accompagnés par une mélodie, ils ont pour mission de parcourir la terre pour raconter des histoires ayant le pouvoir de changer le monde.
Faire vivre ce « conte de fée surréaliste » qu’elle a elle-même écrit lui apparaît comme un nouveau défi : « C’est un challenge pour moi, je n’ai jamais vraiment parlé au public. J’apprécie ce rôle de conteuse avec ces envolées vocales qui peuvent rappeler le death metal ». Plus que jamais, Erna Omarsdottir crée un univers totalement singulier, déroutant voire dérangeant, sans aucune concession : « Je ne cherche pas à plaire. On peut aimer ou détester ce que je fais. Mais je continue à vouloir emmener les gens dans mon voyage. Je crois que le plus important est de suivre son instinct, d’avoir le courage de suivre sa voie, de ne pas avoir peur. »
À l'issue du spectacle, une rencontre sera organisée avec Erna Ómarsdóttir.
http://www.ernaomarsdottir.com/
Plus d'infos sur le site de la régie2c…