Le tour complet du cœur de Gilles Cailleau

à l'Amphithéâtre de Pont-de-Claix
le 8 mars 2008 à 14h30
les 19-20-21 mars 2008 à 20h30



au Théâtre de Privas 04 75 64 62 00
du 27 au 30 mars 2008

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Le Cercle de Craie d'après Alfred Klabund, par la Cie Alain Bertrand
du 10 au 15 mars à 20h30, création en résidence professionnelle

Le Dieu Bonheur d'après Heiner Müller, par la cie Mais où l'as-tu?
Mise en scène : Natacha Dubois.
du 20 au 22 mars à 20h30 au Théâtre Prémol, création en résidence professionnelle
Générale Publique jeudi 13 mars à 19h30 à la salle noire du Théâtre de Création 10 bis rue Ampère.

Un riche, trois pauvres de Louis Calaferte, par la cie Lune Prune
Mise en scène : Michel Dibilio.
le 28 mars à 20h30, théâtre amateur

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Mise en scène : Natacha Dubois.
du 20 au 22 mars à 20h30 au Théâtre Prémol, création en résidence professionnelle
Générale Publique jeudi 13 mars à 19h30 à la salle noire du Théâtre de Création 10 bis rue Ampère.
"Le dieu Bonheur" d'après un texte de Heiner Müller est la première cration de la compagnie "Mais où l'as-tu?" formée en 2007 par des élèves issus du conservatoire de Grenoble.

"Endormi depuis dix mille ans, le dieu Bonheur se réveille sur terre après une chute de son nuage. L'espace du théâtre devenumusée, le dieu Bonheur présente son voyage sur terre. Il appelle le public, qui déambule parmi les souvenirs du dieu, à écouter ce que nous faisons du bonheur.
C'est un panorama du vingtième siècle qui nous amène à penser l'état de notre monde aujourd'hui. Heiner Müller avec le texte Le dieu bonheur écrit en 1958 et 1975, questionne à partir de matériaux textuels de Bertold Brecht et Walter Benjamin la possibilité de penser notre avenir à travers une idéologie du bonheur, comme progrès, réussit, efficacité...
Remettre en question un bonheur pré-pensé auquel il faudrait soumettre notre façon de voir le monde. Fragments humoritiques naïveté d'un dieu qui traverse la scène et cherche à y retrouver une place idyllique, celle d'un dieu adulé.
Est-ce que les hommes ne recherchent plus le bonheur?" Natacha Dubois

Oncle Vania d'Anton Tchekhov, du 7 au 15 mars 2008 à la scène régionale de Château Rouge Annemasse
La Compagnie Traverses est en résidence à Château Rouge Annemasse et à Lyon Croix Rousse 1er et 4ème arrondissements.

Au cœur d’un été chaud et orageux, les retrouvailles d’une famille de la bourgeoisie Russe, offrent à quelques individus l’occasion de se côtoyer à nouveau. Les rituels de leurs existences s’interrompent. Des sentiments d’amour et de haine éclosent brutalement. Après les coups de théâtre et les coups de feu qui ratent leur cible, vient l’heure des bilans, souvent désastreux.

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Conception, scénographie et mise en scène : Aurélien Bory - Cie 111 -
Avec des artistes de la ville de Dalian (Chine)
Du 18 au 22 mars 2008
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Lundi 10 mars à 20h
Lecture de Copito ou Les derniers mots de Flocon de Neige, le singe blanc du zoo de Barcelone
Pièce de Juan Mayorga
Café restaurant La Frise, 150 cours Berriat à Grenoble

Etre là, texte de Nathalie Papin, mise en scène Erik Mennesson
18 mars / Espace 600 / Grenoble
Réservations par téléphone / 04 76 29 42 82 ou par email / reservations@espace600.fr
Informations : www.espace600.fr

Le Règles du savoir vivre dans la société moderne de Jean-Luc Lagarce
La Manifestation d’Antoine Choplin
Blanche Aurore Céleste de Noëlle Renaude
Conception et jeu Denis Bernet-Rollande,
du 14 au 22 mars / Théâtre 145 / Grenoble
Renseignements et réservations : 04 76 49 53 39
Informations : http://made.in.theatre.free.fr

Du 2 au 4 avril à 17h30 Lectures publiques de (extraits) A mes amoures de Claudine Galléa, Comment j’ai vidé la maison de mes parents de Lydia Flem, Cendrillon de Eric Reinhardt, Le dernier frère de Nathacha Appanah, Vesna de Gilles Granouillet, Demain je meurs de Christian Prigent
Dans le cadre du Printemps du Livre, Fnac Victor Hugo / Grenoble

Samedi 5 avril à 17h : Ma Mère qui chantait sur un phare, de Gilles Granouillet, lecture publique en présence de l’auteur, bibliothèque du Centre Ville / Grenoble

Qui n'a pas rêver de gagner le gros lot ?
D'être aimé...
D'avoir du pouvoir... Le pouvoir...
Qui n'aimerait pas être puissant ?
Avoir raison... Souvent raison... Toujours raison !
Influencer le cours des choses...
Décider !
Eh bien Victor veut tout et plus encore...
Il rêve d'être Roi...
Il sera LE ROI VICTOR ! *
Et que tous suivent !!

*toute ressemblance avec un personnage politique existant ne peut être que pur hasard
Premières représentations
Vendredi 28, samedi 29 (20h30)
Dimanche 30 mars (17h)
salle de Maistre à Albertville

http://www.theatredusycomore.com/

Le Théâtre Jean-Vilar propose aux établissements du premier et second degré une séance scolaire le vendredi 28 mars à 14h30

« La lumière volée », adaptation d’un roman d’Hubert Mingarelli, mise en scène par Yvon Chaix, interprétée par deux élèves du Conservatoire

1942. Ghetto de Varsovie.
Elie, 11 ans s'est réfugié dans le cimetière du ghetto de Varsovie. Il vit au jour le jour, installé contre la tombe de Joseph Cytrin à qui il confie ses inquiétudes, ses découvertes. Les Allemands opèrent les premières rafles de Juifs et traquent les jeunes trafiquants sans lesquels le ghetto serait affamé. Une nuit, Elie est rejoint par l'un deux, Gad, un peu plus âgé que lui, et qui lui inspire tout à la fois admiration et crainte. Entre les deux enfants, une amitié se noue peu à peu, et le quotidien s'organise : il faut se nourrir, échapper aux Allemands, et aussi s'inventer des histoires pour vaincre la peur…

Texte des rêves éveillés d'adolescents, texte de l'espoir vain, La Lumière volée, puisant dans la réalité historique, est une oeuvre sans détour, à la fois tragique et poétique, qui tend sans cesse vers le sublime, à travers une écriture intime, comme une voix qu'on entend du bout des lèvres, dans le noir.

Hubert Mingarelli écrit comme on murmure avec une attention infinie apportée à ses personnages. Ses histoires, souvent immobiles, nous font entrer de plain-pied au cœur d’une enfance que borde, peut-être, une incommensurable absence.

Classes concernées : élèves du CM2, élèves de collège, élèves de lycée.
(Séance tout public, le 29 mars à 20h30)

Réservations –renseignements : Christine Vérissimo
Tél théâtre : 04 74 28 05 73 - culture@bourgoinjallieu.fr

Londres, 20 janvier 1483.

Six femmes enfermées dans une tour.
Six femmes qui s’épient, se mentent, s’allient et tentent d’infléchir le cours d’une histoire qu’elles ne contrôlent pas.
Six actrices sculptant leur parole dans les vers libres et sans ponctuation, imposés par l’écriture.
Six portraits peints cherchant la meilleure place pour être observés dans cette galerie de tableaux.
Six petites filles se mettant en scène les unes par rapport aux autres en jouant à être des reines.
Six femmes-reines-actrices-mères au coeur d’une absurde, cruelle, et vaine lutte de pouvoir.

Le pouvoir… il est au centre de cette tempête.
Chacun des dix tableaux nous offre un point de vue sur ce qu’il peut animer chez un être humain.
Chacune des reines est à son tour attirée, fascinée, révulsée ou encore possédée par lui.
Quelle place reste-il à l’humanité et à l’altérité dans cette tour ou l’autre justement n’est plus qu’un obstacle misérable ?
Les vers libres rythment ces tableaux et offrent des affrontements souvent cruels mais aussi souvent drôles comme si la distance était la seule chose qui empêchait chacune de regarder sa vie…et sa mort en face.
Grégory Faive

Les Reines de Normand Chaurette
Mise en scène de Grégory Faive, Cie Le Chat du Désert
du 18 au 29 mars 2008 au Théâtre de Création – Grenoble
Répétition publique le jeudi 6 mars à 19h30
Réservation : 04 76 84 01 84
Mardi / jeudi à 19h30, Mercredi / vendredi / samedi à 20h30

Compagnie Le Chat du désert
Le Petit Angle, 1 rue du Président Carnot – 38000 Grenoble
04 76 25 71 04
lechatdudesert@orange.fr

Seuls
texte, mise en scène et jeu Wajdi Mouawad
Du 4 au 7 mars 2008

Après la création d’Incendies et de Forêts, dont il fut à la fois l’auteur et le metteur en scène, Wajdi Mouawad poursuit son chemin en ayant l’intuition qu’il est temps pour lui de se poser la question de ce qui advient à la langue maternelle lorsque tout se met à fonctionner à travers une autre langue, une langue apprise, monstrueusement acquise. Comment faire lorsque pour redevenir celui que l’on a été, il faut redevenir quelqu’un d’autre. Cette étrange question étant intimement liée au corps, à la voix et à l’être, il ne pouvait être question d’un autre acteur qui pourrait témoigner pour l’auteur-metteur en scène. L’auteur-metteur en scène devra jouer à son tour, pour retrouver, dans le jeu, la ferveur des choses. On appelle cela un solo

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Auteur, producteur et metteur en scène de ses propres textes, Joël Pommerat déploie un théâtre qui a l’évidence de la simplicité et dont l’humanité, toujours au centre du propos, se conjugue à une esthétique puissante.

Au monde, de Joël Pommerat - Cie Louis Brouillard
Du 4 au 5 Mars 2008
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Les Marchands, de Joël Pommerat - Cie Louis Brouillard
Du 6 au 8 Mars 2008
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Cet enfant, de Joël Pommerat - Cie Louis Brouillard
Du 11 au 13 Mars 2008
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