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Oeuvres philosophiques - 17ème siècle
Les ebooks que nous mettons à votre disposition, sont disponibles dans trois formats :
1. PDF (Adobe), sans doute le plus universel, particulièrement adapté à la lecture sur les écrans d'ordinateurs. Pour un confort de lecture maximal, nous vous conseillons vivement l’affichage « Plein écran » dans Adobe Reader (touche ctrl+L sur un PC).
Pour visualiser les ebooks proposés dans ce format, vous devez avoir installé le logicielAdobe Reader. Pour plus de précisions sur l'utilisation d'ebooks au format PDF, veuillez consulter la FAQ. Adobe Reader est gratuit, cliquer sur l'icône ci-dessous pour le télécharger: 2. ePub, le nouveau format universel destiné aux liseuses de type Sony reader mais aussi aux téléphones portables de type iPhone ou Androïd. C'est également le format idéal pour lire sur l'Ipad d'Apple via le logiciel Books. Nous conseillons l'usage du logiciel Calibre pour la gestion des bibliothèques d'ebooks à ce format et leur visualisation sur l'ordinateur ainsi que pour la communication avec les liseuses. A noter: on peut également utiliser Adobe digital editions.
3. Mobi, est le format propriétaire du Kindle d'Amazon. Un logiciel Kindle est disponible pour PC et Mac, mais aussi pour iOS (iphone, ipad) et Androïd pour les smartphones. Il permet le téléchargement de livres sur le Kindle store. Il est ergonomique et permet la prise de notes. Il offre un excellent confort de lecture à l'écran.
Descartes, Les passions de l'âme
Descartes, Méditations métaphysiques
Il s'agit donc dans cette œuvre de balayer les anciens préjugés et de repartir sur des choses certaines, pour lesquelles le doute n'est plus possible. (wikipédia)
Descartes, Le discours de la méthode
Descartes, Correspondance avec Elisabeth
Leibniz, Monadologie
Baltasar Gracián, Le héros
Le but de Gracián est de porter les hommes à l’héroïsme dans les conditions distinguées de la vie, auxquelles les autres dont elles font la gloire et l’appui se réduisent. Il appelle héros tous les personnages illustres, les grands hommes de guerre, les grands esprits pour la politique, les grands hommes dans la magistrature, les génies extraordinaires pour les lettres, etc. En effet, on peut bien dire que tous les grands hommes se ressemblent en un sens, et c’est que la nature les a comme marqués à un même coin. Quelque différents que puissent être les talents qui les distinguent, la supériorité de leur mérite met entre eux un rapport commun.
Baltasar Gracián, L'homme de cour
Ce sont trois cents aphorismes et maximes qui visent à la formation de l’homme plongé dans le monde des puissants. Ainsi, animé par cette substantifique moelle, le lecteur deviendra un homme avisé, doté d’un esprit pratique et vif, ingénieux et maître de ses passions. Réaliste, pragmatique, sinon cynique, celui qui suit les préceptes de Gracian ne s’embarrasse guère d’illusions. Pessimiste quand à la nature humaine, certes, mais d’abord plongé dans l’intrigue qui lui permettra de faire sa place dans la société, et plus précisément celle du pouvoir, l’homme de cour est moins un courtisan que celui qui sait ménager ses concessions en s’assurant le maximum d’avantages personnels. L’ambition dans la vie civile ne peut se passer de ces préceptes.
Spinoza, Court traité
Sans aucun doute les intimes de Spinoza avaient eu connaissance du Traité de Dieu et de l'homme, puisqu'il l'avait écrit à leur intention : la dernière page en témoigne. S'ils ne l'ont ni retrouvé ni mentionné, c'est qu'à leurs yeux comme à ceux de l'auteur, l'intérêt en était minime ; l'Éthique effaçait complètement cette première ébauche. Elle était pour eux du nombre de ces papiers dont il n'y avait pas à regretter la perte, parce que tout ce qu'ils contenaient était dit ailleurs et beaucoup mieux (voir la préface des Posthuma). Étrangers à notre préoccupation moderne d'apercevoir partout évolution et filiation, la pensée du maître leur apparaissait simple, identique et sans histoire au fond. Ayant le monument, ils se souciaient peu de l'échafaudage et des premiers dessins. Peut-être n'avaient-ils pas tout à fait tort : dans les grands esprits, le système c'est l'homme, et l'un n'existe pas sans l'autre. Ce qui est certain, c'est que, du De Deo à l'Éthique, le spinozisme, s'il s'est rempli, n'a pas varié : ses contours, ses grands traits sont restés ce qu'ils étaient.
J. Lagneau
Cogito(...) Je pris garde que, pendant que je voulais ainsi penser que tout était faux, il fallait nécessairement que moi, qui le pensais, fusse quelque chose. Et remarquant que cette vérité : je pense donc je suis, était si ferme et si assurée que toutes les plus extravagantes suppositions des sceptiques ne pouvaient l'ébranler, je jugeai que je pouvais la recevoir sans plus de scrupule pour le premier principe de la philosophie que je cherchais. Descartes, Discours de la méthode, IV. DescartesPhilosophe et mathématicien français né à La Haye, en Touraine, en 1596, Descartes a été formé au collège jésuite de La Flèche. De l'enseignement qu'il y reçoit, seules l'algèbre et la géométrie trouvent grâce à ses yeux. Après des études de droit à Poitiers, il participe à la campagne de Hollande puis il voyage en Europe et entre en contact avec les milieux scientifiques et philosophiques de son époque. Il est un partisan de la nouvelle physique mais renonce à publier ses propres travaux après la condamnation de Galilée. Dès 1628 Descartes s'installe en Hollande pour se consacrer à ses recherches scientifiques et philosophiques. La reine Christine de Suède le fait venir à sa cour en 1649. Il meurt à Stockholm en 1650. Date de création : 04/01/2009 @ 15:54
Dernière modification : 19/06/2012 @ 17:23
Catégorie : Oeuvres philosophiques
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